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Couverture Que Choisir Mensuel - 564

Que Choisir Mensuel N°564 décembre 2017

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Sommaire
  • p.4

    Le low cost dans l'air du temps

  • p.13

    Péril en la demeure !

  • p.16

    Les nouveaux horizons du low cost

    Apparues dans les années 1990, les compagnies aériennes à bas coût ou « low cost », longtemps cantonnées aux vols moyen-courriers, font une percée vers les destinations lointaines. Au grand dam des compagnies traditionnelles, les compagnies low cost commencent à se positionner sur des vols long-courriers, comme ceux vers l’Amérique du Nord ou les Antilles, à des prix imbattables. Après un aller-retour Paris-New York avec Norwegian et WOW Air, notre reporter reconnaît que le confort est correct et constate que le moindre service reste payant (repas, bagage en soute et même couverture), un modèle économique propre à ces compagnies. Pour pérenniser leurs offres, les low cost devront convaincre une clientèle nombreuse qui accepte de voyager dans des conditions parfois spartiates. L’aller-retour aux États-Unis pour moins de 300 € pourrait faire des émules, sans compter que les low cost proposent de plus en plus de vols aux départs des aéroports régionaux, de quoi capter une nouvelle clientèle

  • p.21

    Les contrôleurs ont la gachette facile

    L’UFC-Que Choisir a reçu de telles plaintes de consommateurs qu’une tendance semble se dessiner chez les contrôleurs de la SNCF : ceux-ci – peut-être poussés par leur hiérarchie ? – infligeraient de sévères amendes, sans compréhension éventuelle, même si le problème vient d’un dysfonctionnement du site Voyage-sncf.com ou d’un retard que n’assume pas l’entreprise ferroviaire… L’article relate plusieurs faits où les personnes contrôlées se sont vu infliger des procès-verbaux au prix le plus fort, comme des fraudeurs qui n’auraient pris aucun billet. Et en cas de demande d’explications, les contrôleurs renverraient systématiquement leurs interlocuteurs vers le service réclamations ou le médiateur. Un comportement vis-à-vis de la clientèle qui pourrait plaider en faveur de la concurrence et d’autres modes de transport…

  • p.22

    Jeu de piste

    L’UFC-Que Choisir a procédé à un relevé de prix de 40 jouets vedettes pour ce Noël 2017, dans 5 magasins spécialisés comme La Grande Récré ou Jouéclub, dans 5 hypermarchés comme Auchan, Carrefour ou Leclerc et sur 4 sites Internet généralistes et spécialisés : Avenue des jeux, Amazon, Cdiscount et la Fnac. Les constats sont clairs : des différences de prix existent, qui s’étendent de 10 à 78 €, mais sur les jouets les moins connus et à condition d’acheter à l’avance. En effet, fort des relevés pratiqués depuis 4 ans, l’UFC-Que Choisir confirme une tendance d’augmentation de prix après le 1er décembre, avec une semaine intéressante en octobre. Avant tout achat, il faut vérifier la date de validité du catalogue de publicités, car ensuite les magasins ne sont plus tenus d’appliquer les tarifs attractifs promis sur le papier glacé…

  • p.26

    L'oncle Sam pêche au gros

    Fraîchement débarqué des États-Unis, un premier magasin de l’enseigne Costco vient de s’installer en région parisienne. À raison d’une cotisation annuelle de 36 €, les particuliers et les professionnels ont accès à des produits vendus en grande quantité, par lots, et présentés sans fioritures sur des palettes. Si quelques-unes de nos marques nationales sont présentes, d’autres n’ont pas souhaité être référencées. La politique de bas prix pratiquée (et revendiquée) par Costco permet d’obtenir des rabais pouvant atteindre 40 %, ce que confirme « Que Choisir » après avoir comparé les prix de 7 produits entre Costco et les enseignes Carrefour Drive et Auchan Drive (91).

  • p.28

    Une solution prometteuse

    Doubler le nombre des maisons de santé pluriprofessionnelles (MSP) d’ici à 5 ans est un objectif prioritaire du plan de lutte contre les déserts médicaux présenté en octobre dernier par le gouvernement. Composée d’au moins deux médecins généralistes et d’un paramédical, une MSP regroupe, dans un même lieu, des professionnels qui exercent des activités coordonnées de soins et de prévention ; ils travaillent autour d’un projet de santé validé par l’Agence régionale de santé (ARS) et peuvent à ce titre bénéficier d’un soutien financier. Un reportage à Fayl-Billot, en Haute-Marne, à la MSP « La Saulamance », permet de mieux appréhender cette notion de « projet de santé ». À côté, d’autres modes d’exercice coexistent. La réussite d’une MSP est-elle toujours au rendez-vous dans un désert médical ? L’expérience menée dans certaines municipalités prouve que la tâche n’est pas si simple.

  • p.32

    Champagne

    La concurrence des vins effervescents a incité les Champenois à mieux soigner leurs produits, comme le prouvent les résultats de dégustation de l’UFC-Que Choisir. Trois bouteilles sont mises en avant dans les catégories plus de 30 €, entre 21 et 30 € ou 20 € et moins ; 11 bouteilles vendues directement à la propriété, de 17 à 32 €, sont également présentées. L’article explique pourquoi la vente des champagnes en supermarché a fait baisser la qualité et lesquels peuvent être toutefois dans la moyenne. Mais l’excellence des divers terroirs champenois ne se conjugue qu’avec un tarif un peu plus élevé ou en passant directement par la propriété. La jeune génération de vignerons est motivée pour travailler sans désherbant, en agriculture raisonnée ou en biodynamie, avec le développement durable, souhaitant obtenir le label AB ; 250 vignerons sur 5 000 se sont même lancés dans la certification Haute Valeur environnementale (HVE).

  • p.37

    Les labellisés créent la surprise

    Le saumon fumé figurera au menu de nombreuses tables lors des fêtes de fin d’année. C’est la raison pour laquelle « Que Choisir » a soumis à une dégustation à l’aveugle 23 saumons fumés (7 sauvages et 16 d’élevage, des saumons bios, labellisés et sans signe de qualité), puis a évalué la fraîcheur et la qualité des tranches et, enfin, a recherché en laboratoire la présence éventuelle de métaux lourds (cadmium, plomb, mercure et arsenic), de dioxines et PCB, de résidus de pesticides, etc. Les résultats, de prime abord, déconcertent. L’alimentation des saumons en serait l’explication… « Que Choisir » met à l’honneur 4 produits et transmet les conseils de M. Chartrain, poissonnier, président de la poissonnerie du Dôme à Paris.

  • p.40

    Nos conseils d'achat

    Que ce soit pour améliorer le confort d’écoute de votre téléviseur, parce que vous êtes cinéphile ou que vous recherchez une barre de son pour la télé et la musique, l’UFC-Que Choisir a testé pour vous 21 modèles de marques telles que Sony, Bose, Philips, Panasonic, Samsung, Denon ou LG. Les critères d’évaluation ont été la facilité d’emploi, la consommation électrique et surtout la qualité du son (restitution des haut-parleurs, réaction à la distorsion). Un jury d’écoute a testé des musiques classiques, pop et des voix sur ces appareils qui peuvent être aussi utilisés comme des enceintes sans fil ou Bluetooth. Au final, une barre de son apparaît comme le « meilleur choix » et 3 sont mises en avant comme « bon choix ».

  • p.42

    Superblenders

    À l’instar des blenders, les superblenders mixent les aliments, mais ils offrent en plus la possibilité de chauffer les préparations avec plus de puissance et de rapidité. « Que Choisir » a testé 5 modèles dont les prix varient de 239 à près de 1 000 €. Leurs performances de mixage ont été jugées sur la préparation de jus et de smoothies, pâte à crêpes, glace pilée, purée pour bébé et enfin de soupe. La texture et l’absence de morceaux de fruits ou de légumes sont prises en compte dans l’appréciation finale. Important pour l’usage de ces appareils du quotidien, le bruit, la facilité d’emploi et l’endurance ont été évalués. Deux superblenders arrivent en tête du classement, mais ce sont les plus chers !

  • p.43

    Les prix flambent, pas les performances

    Les ventes d’appareils photo numériques, en baisse depuis 2016, remontent grâce aux hybrides, tandis que les compacts et reflex chutent toujours plus. Si les APN sont concurrencés par les smartphones, les fabricants ont aussi fait le choix de se concentrer davantage sur les appareils haut de gamme, en pariant sur des passionnés qui paieront toujours pour avoir de la qualité… Mais les capteurs plein format, les zooms hyperpuissants et la connectivité justifient-ils des prix allant jusqu’à 2 600 € pour certains produits ? L’UFC-Que Choisir a voulu le savoir et a évalué, suivant des critères de qualité de photo et de vidéo, de viseur ou écran et de performances, 20 appareils photo à objectifs interchangeables (7 reflex et 13 hybrides) de marques telle que Canon, Nikon, Pentax, Sony, Fujifilm, Panasonic ou Olympus. Deux « bons choix » et un « meilleur choix » ont été mis en avant dans chaque catégorie

  • p.46

    Ordinateurs portables 15'' vive le SSD !

    Quinze ordinateurs portables de 15 pouces ont été passés au crible par « Que Choisir » pour évaluer des performances aussi diverses que le temps de démarrage, la copie de données, le transcodage d’une vidéo et la lecture de vidéos aux formats Full HD et Ultra HD. Quatre modèles possèdent un système de stockage appelé SSD qui optimise la rapidité des ordinateurs, surtout s’il est couplé avec un disque dur dont la capacité de stockage est plus grande. La qualité d’affichage et du son, l’autonomie de la batterie et les nombreuses connectiques sont autant de critères à considérer pour le choix d’un ordinateur. « Que Choisir » passe également en revue 6 tablettes hybrides (entre tablette et PC), avec un clavier pour certaines. Bien qu’elles s’avèrent plutôt coûteuses, leurs performances les posent en concurrentes sérieuses des ordinateurs portables.

  • p.49

    Une offre plus ou moins pertinente

    L’offre des tablettes pour senior est destinée à leur faciliter l’accès au monde numérique. Sept modèles ont été testés par « Que Choisir » et à l’exception de l’un que nous déconseillons, tous présentent une interface ergonomique agréable et simple à appréhender pour les seniors, avec des fonctions multimédia classiques. La mise en service et la configuration de la tablette nécessitent en revanche l’aide d’une personne. Selon le modèle et le type de connexion (Wi-Fi ou 4G), le prix varie de 259 à 500 €. Dans cette gamme de prix, le senior peut tout aussi bien se tourner vers une tablette classique telle l’iPad, plus performant et aussi simple à utiliser.

  • p.52

    Ils rasent au poil, mais pas gratis

    Le retour en force de la barbe n’a pas eu pour conséquence de ralentir le marché des rasoirs, qui a connu en 2016 une croissance de 12,6 % en valeur. Un groupe de 50 hommes a testé chacun des 11 rasoirs électriques (à grille ou à têtes rotatives) sélectionnés par « Que Choisir », au quotidien ou tous les trois jours pendant une semaine. Un questionnaire rempli par chaque panéliste devait renseigner sur la qualité et le confort du rasage, la facilité d’utilisation, l’autonomie de la batterie… sans omettre le bruit. Le coût de revient sur 1 an, dû au remplacement des têtes de rasage, est aussi précisé. Les 3 premiers modèles du classement sont dotés d’une station de nettoyage, d’où leur coût plus élevé. Quant au « meilleur choix », il possède toutes les qualités attendues d’un rasoir.

  • p.54

    Rien que du marketing

    Il y a 30 ans naissait le logo « Élu produit de l’année », et 945 produits de toutes sortes l’ont arboré. D’autres logos ont vu le jour depuis, destinés à entretenir sans le dire le flou avec les labels officiels. L’UFC-Que Choisir éclaire les caractéristiques et le mode de sélection de ces logos, donnant son avis sur leur fiabilité et leur intérêt pour le consommateur. Sont ainsi décryptés : « Saveur de l’année », « Meilleure chaîne de magasins », « Élu service client de l’année », « Reconnu saveur de l’année », « Meilleur produit bio », « Approuvé par les familles », « Chaînes de restaurants de l’année » et « Leader du service ». Au final : manque de rigueur, opacité, organisateurs changeant les catégories et notations… Même si des efforts existent chez certains, ces logos sont avant tout des outils marketing utiles aux fabricants.

  • p.58

    Ça sent le ranci

    Le beurre manque dans un nombre croissant de supermarchés. La crainte d’une pénurie accentue ce phénomène, les consommateurs commençant à stocker et à acheter en masse. « Que Choisir » analyse les raisons de cette « crise » : une demande mondiale de beurre en augmentation, une production française moins rémunératrice qui se tourne vers d’autres débouchés, des distributeurs français qui refusent de répercuter les prix à la hausse, etc. La flambée des cours provoque des effets en cascade, car le beurre constitue la matière première de nombreuses préparations et produits finaux. Quelques exemples traduisent bien l’inquiétude et les risques qu’une telle surchauffe fait peser sur certaines filières. Au bout de la chaîne, le consommateur devra s’attendre à des hausses de prix !

  • p.60

    Louer un espace de stockage

    Un espace de stockage peut se louer par le biais d’une entreprise spécialisée ou chez un particulier. Cette dernière option reste moins onéreuse que la solution professionnelle mais elle est aussi moins sécurisée. Cette fiche pratique fournit des conseils pour choisir la solution appropriée et recommande avant toute décision de faire le tri dans ses effets personnels.

  • p.61

    Le don d'organe du vivant

    Le don d’organe n’est pas réservé aux personnes décédées, il est aussi possible de donner un organe de son vivant. Parce que nous pouvons vivre avec un seul rein, il est quasiment le seul organe dont on puisse faire don de son vivant, même s’il est aussi possible de transmettre un lobe de foie. Les patients en attente d’une greffe de rein représentent 78 % de la liste nationale d’attente, toutes greffes confondues. Cet article explique quelles sont les personnes aptes à faire un don de leur rein, les risques éventuels pour le donneur et la raison pour laquelle la compatibilité n’est pas toujours exigée, grâce aux nouveaux traitements antirejet.

  • p.61

    Comment s'en débarrasser

    Cette « consopratique » indique comment recycler, en plus des déchetteries, ses appareils électroniques (tablette, smartphone ou ordinateur) une fois que l’on en a éliminé toutes ses données personnelles. Il est possible de les déposer en magasins, lesquels ont l’obligation de les reprendre en cas d’achat d’un appareil neuf mais aussi l’obligation d’en accepter le dépôt sous certaines conditions. L’article indique également quels acteurs associatifs agréés (Emmaüs, le Secours populaire…) peuvent redonner une nouvelle vie utile à ces équipements.

  • p.64

    Prudence sur le Bon Coin

  • p.64

    Les établissements de santé sont-il hospitaliers ?

  • p.65

    Deux façons de lire la loi

  • p.65

    Lavabo explosif

  • p.65

    Frénésie de prélèvements chez SFR

  • p.66

    Tombés dans le panneau

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Les plus du magazine

  • Une information fiable et indépendante sur votre consommation
  • Des essais comparatifs pour choisir les meilleurs produits au meilleur prix
  • Des conseils pour votre quotidien
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    Le low cost dans l'air du temps

  • p.13

    Péril en la demeure !

  • p.16

    Les nouveaux horizons du low cost

    Apparues dans les années 1990, les compagnies aériennes à bas coût ou « low cost », longtemps cantonnées aux vols moyen-courriers, font une percée vers les destinations lointaines. Au grand dam des compagnies traditionnelles, les compagnies low cost commencent à se positionner sur des vols long-courriers, comme ceux vers l’Amérique du Nord ou les Antilles, à des prix imbattables. Après un aller-retour Paris-New York avec Norwegian et WOW Air, notre reporter reconnaît que le confort est correct et constate que le moindre service reste payant (repas, bagage en soute et même couverture), un modèle économique propre à ces compagnies. Pour pérenniser leurs offres, les low cost devront convaincre une clientèle nombreuse qui accepte de voyager dans des conditions parfois spartiates. L’aller-retour aux États-Unis pour moins de 300 € pourrait faire des émules, sans compter que les low cost proposent de plus en plus de vols aux départs des aéroports régionaux, de quoi capter une nouvelle clientèle

  • p.21

    Les contrôleurs ont la gachette facile

    L’UFC-Que Choisir a reçu de telles plaintes de consommateurs qu’une tendance semble se dessiner chez les contrôleurs de la SNCF : ceux-ci – peut-être poussés par leur hiérarchie ? – infligeraient de sévères amendes, sans compréhension éventuelle, même si le problème vient d’un dysfonctionnement du site Voyage-sncf.com ou d’un retard que n’assume pas l’entreprise ferroviaire… L’article relate plusieurs faits où les personnes contrôlées se sont vu infliger des procès-verbaux au prix le plus fort, comme des fraudeurs qui n’auraient pris aucun billet. Et en cas de demande d’explications, les contrôleurs renverraient systématiquement leurs interlocuteurs vers le service réclamations ou le médiateur. Un comportement vis-à-vis de la clientèle qui pourrait plaider en faveur de la concurrence et d’autres modes de transport…

  • p.22

    Jeu de piste

    L’UFC-Que Choisir a procédé à un relevé de prix de 40 jouets vedettes pour ce Noël 2017, dans 5 magasins spécialisés comme La Grande Récré ou Jouéclub, dans 5 hypermarchés comme Auchan, Carrefour ou Leclerc et sur 4 sites Internet généralistes et spécialisés : Avenue des jeux, Amazon, Cdiscount et la Fnac. Les constats sont clairs : des différences de prix existent, qui s’étendent de 10 à 78 €, mais sur les jouets les moins connus et à condition d’acheter à l’avance. En effet, fort des relevés pratiqués depuis 4 ans, l’UFC-Que Choisir confirme une tendance d’augmentation de prix après le 1er décembre, avec une semaine intéressante en octobre. Avant tout achat, il faut vérifier la date de validité du catalogue de publicités, car ensuite les magasins ne sont plus tenus d’appliquer les tarifs attractifs promis sur le papier glacé…

  • p.26

    L'oncle Sam pêche au gros

    Fraîchement débarqué des États-Unis, un premier magasin de l’enseigne Costco vient de s’installer en région parisienne. À raison d’une cotisation annuelle de 36 €, les particuliers et les professionnels ont accès à des produits vendus en grande quantité, par lots, et présentés sans fioritures sur des palettes. Si quelques-unes de nos marques nationales sont présentes, d’autres n’ont pas souhaité être référencées. La politique de bas prix pratiquée (et revendiquée) par Costco permet d’obtenir des rabais pouvant atteindre 40 %, ce que confirme « Que Choisir » après avoir comparé les prix de 7 produits entre Costco et les enseignes Carrefour Drive et Auchan Drive (91).

  • p.28

    Une solution prometteuse

    Doubler le nombre des maisons de santé pluriprofessionnelles (MSP) d’ici à 5 ans est un objectif prioritaire du plan de lutte contre les déserts médicaux présenté en octobre dernier par le gouvernement. Composée d’au moins deux médecins généralistes et d’un paramédical, une MSP regroupe, dans un même lieu, des professionnels qui exercent des activités coordonnées de soins et de prévention ; ils travaillent autour d’un projet de santé validé par l’Agence régionale de santé (ARS) et peuvent à ce titre bénéficier d’un soutien financier. Un reportage à Fayl-Billot, en Haute-Marne, à la MSP « La Saulamance », permet de mieux appréhender cette notion de « projet de santé ». À côté, d’autres modes d’exercice coexistent. La réussite d’une MSP est-elle toujours au rendez-vous dans un désert médical ? L’expérience menée dans certaines municipalités prouve que la tâche n’est pas si simple.

  • p.32

    Champagne

    La concurrence des vins effervescents a incité les Champenois à mieux soigner leurs produits, comme le prouvent les résultats de dégustation de l’UFC-Que Choisir. Trois bouteilles sont mises en avant dans les catégories plus de 30 €, entre 21 et 30 € ou 20 € et moins ; 11 bouteilles vendues directement à la propriété, de 17 à 32 €, sont également présentées. L’article explique pourquoi la vente des champagnes en supermarché a fait baisser la qualité et lesquels peuvent être toutefois dans la moyenne. Mais l’excellence des divers terroirs champenois ne se conjugue qu’avec un tarif un peu plus élevé ou en passant directement par la propriété. La jeune génération de vignerons est motivée pour travailler sans désherbant, en agriculture raisonnée ou en biodynamie, avec le développement durable, souhaitant obtenir le label AB ; 250 vignerons sur 5 000 se sont même lancés dans la certification Haute Valeur environnementale (HVE).

  • p.37

    Les labellisés créent la surprise

    Le saumon fumé figurera au menu de nombreuses tables lors des fêtes de fin d’année. C’est la raison pour laquelle « Que Choisir » a soumis à une dégustation à l’aveugle 23 saumons fumés (7 sauvages et 16 d’élevage, des saumons bios, labellisés et sans signe de qualité), puis a évalué la fraîcheur et la qualité des tranches et, enfin, a recherché en laboratoire la présence éventuelle de métaux lourds (cadmium, plomb, mercure et arsenic), de dioxines et PCB, de résidus de pesticides, etc. Les résultats, de prime abord, déconcertent. L’alimentation des saumons en serait l’explication… « Que Choisir » met à l’honneur 4 produits et transmet les conseils de M. Chartrain, poissonnier, président de la poissonnerie du Dôme à Paris.

  • p.40

    Nos conseils d'achat

    Que ce soit pour améliorer le confort d’écoute de votre téléviseur, parce que vous êtes cinéphile ou que vous recherchez une barre de son pour la télé et la musique, l’UFC-Que Choisir a testé pour vous 21 modèles de marques telles que Sony, Bose, Philips, Panasonic, Samsung, Denon ou LG. Les critères d’évaluation ont été la facilité d’emploi, la consommation électrique et surtout la qualité du son (restitution des haut-parleurs, réaction à la distorsion). Un jury d’écoute a testé des musiques classiques, pop et des voix sur ces appareils qui peuvent être aussi utilisés comme des enceintes sans fil ou Bluetooth. Au final, une barre de son apparaît comme le « meilleur choix » et 3 sont mises en avant comme « bon choix ».

  • p.42

    Superblenders

    À l’instar des blenders, les superblenders mixent les aliments, mais ils offrent en plus la possibilité de chauffer les préparations avec plus de puissance et de rapidité. « Que Choisir » a testé 5 modèles dont les prix varient de 239 à près de 1 000 €. Leurs performances de mixage ont été jugées sur la préparation de jus et de smoothies, pâte à crêpes, glace pilée, purée pour bébé et enfin de soupe. La texture et l’absence de morceaux de fruits ou de légumes sont prises en compte dans l’appréciation finale. Important pour l’usage de ces appareils du quotidien, le bruit, la facilité d’emploi et l’endurance ont été évalués. Deux superblenders arrivent en tête du classement, mais ce sont les plus chers !

  • p.43

    Les prix flambent, pas les performances

    Les ventes d’appareils photo numériques, en baisse depuis 2016, remontent grâce aux hybrides, tandis que les compacts et reflex chutent toujours plus. Si les APN sont concurrencés par les smartphones, les fabricants ont aussi fait le choix de se concentrer davantage sur les appareils haut de gamme, en pariant sur des passionnés qui paieront toujours pour avoir de la qualité… Mais les capteurs plein format, les zooms hyperpuissants et la connectivité justifient-ils des prix allant jusqu’à 2 600 € pour certains produits ? L’UFC-Que Choisir a voulu le savoir et a évalué, suivant des critères de qualité de photo et de vidéo, de viseur ou écran et de performances, 20 appareils photo à objectifs interchangeables (7 reflex et 13 hybrides) de marques telle que Canon, Nikon, Pentax, Sony, Fujifilm, Panasonic ou Olympus. Deux « bons choix » et un « meilleur choix » ont été mis en avant dans chaque catégorie

  • p.46

    Ordinateurs portables 15'' vive le SSD !

    Quinze ordinateurs portables de 15 pouces ont été passés au crible par « Que Choisir » pour évaluer des performances aussi diverses que le temps de démarrage, la copie de données, le transcodage d’une vidéo et la lecture de vidéos aux formats Full HD et Ultra HD. Quatre modèles possèdent un système de stockage appelé SSD qui optimise la rapidité des ordinateurs, surtout s’il est couplé avec un disque dur dont la capacité de stockage est plus grande. La qualité d’affichage et du son, l’autonomie de la batterie et les nombreuses connectiques sont autant de critères à considérer pour le choix d’un ordinateur. « Que Choisir » passe également en revue 6 tablettes hybrides (entre tablette et PC), avec un clavier pour certaines. Bien qu’elles s’avèrent plutôt coûteuses, leurs performances les posent en concurrentes sérieuses des ordinateurs portables.

  • p.49

    Une offre plus ou moins pertinente

    L’offre des tablettes pour senior est destinée à leur faciliter l’accès au monde numérique. Sept modèles ont été testés par « Que Choisir » et à l’exception de l’un que nous déconseillons, tous présentent une interface ergonomique agréable et simple à appréhender pour les seniors, avec des fonctions multimédia classiques. La mise en service et la configuration de la tablette nécessitent en revanche l’aide d’une personne. Selon le modèle et le type de connexion (Wi-Fi ou 4G), le prix varie de 259 à 500 €. Dans cette gamme de prix, le senior peut tout aussi bien se tourner vers une tablette classique telle l’iPad, plus performant et aussi simple à utiliser.

  • p.52

    Ils rasent au poil, mais pas gratis

    Le retour en force de la barbe n’a pas eu pour conséquence de ralentir le marché des rasoirs, qui a connu en 2016 une croissance de 12,6 % en valeur. Un groupe de 50 hommes a testé chacun des 11 rasoirs électriques (à grille ou à têtes rotatives) sélectionnés par « Que Choisir », au quotidien ou tous les trois jours pendant une semaine. Un questionnaire rempli par chaque panéliste devait renseigner sur la qualité et le confort du rasage, la facilité d’utilisation, l’autonomie de la batterie… sans omettre le bruit. Le coût de revient sur 1 an, dû au remplacement des têtes de rasage, est aussi précisé. Les 3 premiers modèles du classement sont dotés d’une station de nettoyage, d’où leur coût plus élevé. Quant au « meilleur choix », il possède toutes les qualités attendues d’un rasoir.

  • p.54

    Rien que du marketing

    Il y a 30 ans naissait le logo « Élu produit de l’année », et 945 produits de toutes sortes l’ont arboré. D’autres logos ont vu le jour depuis, destinés à entretenir sans le dire le flou avec les labels officiels. L’UFC-Que Choisir éclaire les caractéristiques et le mode de sélection de ces logos, donnant son avis sur leur fiabilité et leur intérêt pour le consommateur. Sont ainsi décryptés : « Saveur de l’année », « Meilleure chaîne de magasins », « Élu service client de l’année », « Reconnu saveur de l’année », « Meilleur produit bio », « Approuvé par les familles », « Chaînes de restaurants de l’année » et « Leader du service ». Au final : manque de rigueur, opacité, organisateurs changeant les catégories et notations… Même si des efforts existent chez certains, ces logos sont avant tout des outils marketing utiles aux fabricants.

  • p.58

    Ça sent le ranci

    Le beurre manque dans un nombre croissant de supermarchés. La crainte d’une pénurie accentue ce phénomène, les consommateurs commençant à stocker et à acheter en masse. « Que Choisir » analyse les raisons de cette « crise » : une demande mondiale de beurre en augmentation, une production française moins rémunératrice qui se tourne vers d’autres débouchés, des distributeurs français qui refusent de répercuter les prix à la hausse, etc. La flambée des cours provoque des effets en cascade, car le beurre constitue la matière première de nombreuses préparations et produits finaux. Quelques exemples traduisent bien l’inquiétude et les risques qu’une telle surchauffe fait peser sur certaines filières. Au bout de la chaîne, le consommateur devra s’attendre à des hausses de prix !

  • p.60

    Louer un espace de stockage

    Un espace de stockage peut se louer par le biais d’une entreprise spécialisée ou chez un particulier. Cette dernière option reste moins onéreuse que la solution professionnelle mais elle est aussi moins sécurisée. Cette fiche pratique fournit des conseils pour choisir la solution appropriée et recommande avant toute décision de faire le tri dans ses effets personnels.

  • p.61

    Le don d'organe du vivant

    Le don d’organe n’est pas réservé aux personnes décédées, il est aussi possible de donner un organe de son vivant. Parce que nous pouvons vivre avec un seul rein, il est quasiment le seul organe dont on puisse faire don de son vivant, même s’il est aussi possible de transmettre un lobe de foie. Les patients en attente d’une greffe de rein représentent 78 % de la liste nationale d’attente, toutes greffes confondues. Cet article explique quelles sont les personnes aptes à faire un don de leur rein, les risques éventuels pour le donneur et la raison pour laquelle la compatibilité n’est pas toujours exigée, grâce aux nouveaux traitements antirejet.

  • p.61

    Comment s'en débarrasser

    Cette « consopratique » indique comment recycler, en plus des déchetteries, ses appareils électroniques (tablette, smartphone ou ordinateur) une fois que l’on en a éliminé toutes ses données personnelles. Il est possible de les déposer en magasins, lesquels ont l’obligation de les reprendre en cas d’achat d’un appareil neuf mais aussi l’obligation d’en accepter le dépôt sous certaines conditions. L’article indique également quels acteurs associatifs agréés (Emmaüs, le Secours populaire…) peuvent redonner une nouvelle vie utile à ces équipements.

  • p.64

    Prudence sur le Bon Coin

  • p.64

    Les établissements de santé sont-il hospitaliers ?

  • p.65

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Comment consulter et/ou télécharger les archives numériques

Vous pouvez consulter tous les magazines de la formule à laquelle vous êtes abonné.
Par exemple, si vous avez souscrit à la formule « Mensuels + Hors-série Argent » vous ne pourrez accéder en version numérique qu’aux Que Choisir Mensuels et Que Choisir Argent. Vous disposez d’un minimum de 3 années d’archives numériques.

La consultation des archives n’est pas limitée dans le temps durant la durée de votre abonnement aux revues « papier » de Que Choisir. Vous disposez d’un minimum de 3 années d’archives qui s’incrémentent ensuite au fur et à mesure de votre abonnement.
Une fois votre abonnement terminé vous ne pourrez plus accéder ni télécharger les archives, sauf à passer commande et à régler celle-ci.

Le nombre de téléchargement n’est pas limité tant que votre abonnement aux revues Que Choisir et/ou Que Choisir Santé est en cours.

Quelle est la différence entre la « liseuse en ligne » et le téléchargement PDF de la revue ?

La liseuse en ligne vous permet de consulter sur votre écran d’ordinateur votre magazine en mode feuilletage comme vous le feriez chez vous. La liseuse vous permet également de sélectionner et d’imprimer la partie d’un article qui vous intéresse. Vous pourrez également zoomer le contenu. La liseuse n’est disponible que via le https://kiosque.quechoisir.org et si vous êtes connecté(e) à Internet avec, préférablement, du haut débit.

Le téléchargement en version PDF vous permet de conserver sur votre ordinateur l’intégralité du contenu du magazine choisi. Ainsi, même sans accès internet vous pourrez consulter votre journal. Le téléchargement concerne l’ensemble d’un numéro.

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