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Que Choisir Santé N°56 décembre 2011

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Sommaire
  • p.1

    Vivre au quotidien avec la maladie de Parkinson

    Chaque année, la maladie de Parkinson touche en France près de 10 000 personnes. D’évolution lente, cette maladie neurologique est due à la disparition progressive des neurones qui secrètent de la dopamine, entraînant l’apparition de tremblement au repos, rigidité et lenteur dans les mouvements. Ce dossier aide à comprendre les mécanismes de la maladie, explique le rôle et le mode d’action des médicaments dits dopaminergiques ainsi que leurs effets indésirables. D’autres moyens thérapeutiques peuvent améliorer et soulager la vie des malades. C’est le cas de l’activité physique dont les bénéfices sont évoqués avec des exemples d’exercices. Ou encore de la neurostimulation, des cures thermales ou de l’éducation thérapeutique. Enfin, ce dossier aborde les symptômes associés aux troubles moteurs à savoir les troubles du sommeil, de l’humeur, les troubles digestifs mais aussi les douleurs. Et, fournit quelques astuces pour les amoindrir.

  • p.2

    La mammographie sur la sellette en Angleterre

    Deux lettres ouvertes publiées dans le British Medical Journal remettent en question la politique de dépistage du cancer du sein par mammographie au Royaume-Uni. Dans sa réponse à la question posée par le Pr Susan Bewley, le Pr Mike Richards, directeur en charge du cancer au ministère de la Santé britannique, appelle en effet à une réflexion devant mener à une réévaluation indépendante des études sur l’efficacité du dépistage du cancer du sein et dans un second temps à une analyse critique avec une confrontation des experts des deux bords.

  • p.2

    La discrétion de la Haute Autorité de santé

    Dans un récent argumentaire sur la lutte contre l’obésité destiné aux professionnels de santé, la Haute Autorité de santé (HAS) déconseille la prescription d’orlistat (Alli et Xenical). Les raisons invoquées sont peu encourageantes : "efficacité modeste, effets indésirables notamment digestifs, interactions médicamenteuses". Aux Etats-Unis, l’association de consommateurs Public Citizen va plus loin et demande son retrait du marché.

  • p.2

    La France à la traîne

    Alors que 3 pays (Norvège, Suède et Danemark) ont interdit l’amalgame dentaire à base de mercure, que le Conseil de l’Europe a adopté une résolution visant sa restriction voire son interdiction et que les Etats-Unis se sont prononcés pour sa suppression progressive dans le monde entier, la France reste le seul pays à s’y opposer. La toxicité du mercure est pourtant bien reconnue…

  • p.3

    Des médicaments à jeter aux oubliettes ?

    La Haute Autorité de santé (HAS) a réévalué les médicaments contre la maladie d’Alzheimer. 4 médicaments, Ebixa (mémantine), Aricept (donépézil), Exelon (rivastigmine) et Reminyl (galantamine), ont vu leur service médical rendu ou SMR revu à la baisse. Ils présentent maintenant un intérêt thérapeutique "faible" alors que ce dernier était qualifié d’"important" jusqu’à présent. La HAS pointe une efficacité faible avec des effets indésirables tels qu’elle préconise de restreindre la prescription à un an avec une évaluation à six mois. En pratique, on peut s’interroger sur la pertinence de continuer à les prescrire…

  • p.3

    Attention au progestatif

    Une récente étude menée sur les Danoises de 15 à 49 ans suivies de 2001 à 2009 a comparé le risque de thrombose veineuse selon le type de pilule contraceptive qu’elles utilisent. Le risque est multiplié par trois avec les pilules à base de lévonorgestrel et par six avec celles à base de désogestrel, de gestodène ou de drospirénone par rapport au risque existant chez les utilisatrices qui ne recourent pas à la contraception hormonale. Attention donc…

  • p.3

    Le coup de sang de l'Académie de médecine

    Dans un rapport intitulé "Compétence scientifique et technique de l’expert et qualité de l’expertise en responsabilité médicale", l’Académie de médecine souligne la nécessité de contrôler l’indépendance des experts et dénonce des liens de dépendance mal gérés. A propos des inscriptions ou réinscriptions sur les listes d’expert offertes au juge dans les affaires de responsabilité médicale, elle déplore également le fait que la compétence scientifique ne soit pas suffisamment prise en compte

  • p.8

    « Le jeûne m'a aidée à supporter la chimiothérapie »

    Apprenant qu’elle est atteinte d’un lymphome agressif pour lequel elle doit entamer au plus vite une chimiothérapie, Sylvie, 53 ans, s’aperçoit à l’hôpital qu’elle ne peut rien manger. Le jeûne, qu’elle envisageait de faire après son traitement, s’impose alors de lui-même. Pendant l’hospitalisation et les deux jours suivant son retour, elle ne mange pas, bois beaucoup et essaie de limiter au maximum les médicaments. Aujourd’hui, elle est sûre que ce jeûne a nettoyé son corps et permis de mieux affronter les effets secondaires de la chimiothérapie...En parallèle à ce témoignage, Que Choisir Santé éclaire sur les recherches en cours en Californie pour protéger les cellules saines et sur le jeûne tandis que le Dr Françoise Wilhelmi de Toledo précise comment concilier jeûne et traitement médicamenteux.

  • p.10

    Le gros bébé ne pèse plus très lourd

    Dans un passé pas si lointain, l’image du gros bébé ou bébé joufflu était celle d’un enfant en bonne santé, comme en témoignent les publicités. Mais, il semble bien à lire les témoignages de parents inquiets dans les forums Internet, que le spectre de l’obésité ait inversé cette tendance. Du moins dans l’esprit de beaucoup. Faut-il réellement s’inquiéter et faire maigrir les "bons" bébés ? Que Choisir Santé fait la part des choses et explique pourquoi il faut guetter le rebond d’adiposité et voir s’il est précoce.

  • p.11

    Fuites de salive

    Se mettre à baver pour un bébé, c’est banal, mais c’est déjà plus inquiétant lorsqu’il s’agit d’un adulte. Il est alors nécessaire de s’interroger. Les médecins appellent sialorrhée la production salivaire excessive. Elle peut être liée à un problème au niveau de la bouche, à la prise de médicaments ou encore à une maladie neurologique. Que Choisir Santé passe en revue ces causes et les remèdes possibles. Le rôle joué par la salive, et les difficultés à quantifier la gravité de la salivation excessive complètent ce « Mieux se connaître pour se soigner ».

  • p.13

    Les fausses maladies de Parkinson

    Dans 5 à 10% des cas, des patients diagnostiqués atteints de la maladie de Parkinson, ne le sont pas. Ils sont victimes des effets indésirables de certains médicaments, dont de nombreux neuroleptiques et antidépresseurs mais pas seulement, qui engendrent des symptômes semblables : mouvements lents, rigidité, tremblements etc. Il s’agit alors de syndrome parkinsonien. L’arrêt du traitement met fin à ces manifestations. Voici la liste des principaux des principaux médicaments incriminés.

  • p.16

    L'accès aux soins pour tous

    Toute personne résidant en France de manière stable et régulière et n’étant pas déjà couverte par un régime obligatoire d’Assurance maladie a droit à une couverture maladie. La CMU de base permet un accès aux soins et un remboursement des prestations et médicaments c’est-à-dire offre les mêmes droits que les autres assurés. La CMU-C assure, quant à elle, sous conditions de ressources, une protection complémentaire gratuite tandis que l’ACS ou aide à une complémentaire santé ouvre droit à ceux qui disposent de faibles revenus d’une réduction sur leur cotisation. Enfin, l’AME ou aide médicale d’Etat s’adresse aux sans-papiers. Ce "gros plan sur..." détaille ces prestations prises pour lutter contre les exclusions et permettre à tous un accès aux soins.

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Les plus du magazine

  • Une information fiable et indépendante sur votre santé
  • Une expertise de praticiens reconnus : médecins, chercheurs, pharmacologue
  • Un décryptage objectif des maux courants qui nous empoisonnent la vie (douleurs musculaires, migraines…) et des sujets d’actualité
  • Une fiche médicaments pour éviter les effets secondaires et les interactions fâcheuses

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    Chaque année, la maladie de Parkinson touche en France près de 10 000 personnes. D’évolution lente, cette maladie neurologique est due à la disparition progressive des neurones qui secrètent de la dopamine, entraînant l’apparition de tremblement au repos, rigidité et lenteur dans les mouvements. Ce dossier aide à comprendre les mécanismes de la maladie, explique le rôle et le mode d’action des médicaments dits dopaminergiques ainsi que leurs effets indésirables. D’autres moyens thérapeutiques peuvent améliorer et soulager la vie des malades. C’est le cas de l’activité physique dont les bénéfices sont évoqués avec des exemples d’exercices. Ou encore de la neurostimulation, des cures thermales ou de l’éducation thérapeutique. Enfin, ce dossier aborde les symptômes associés aux troubles moteurs à savoir les troubles du sommeil, de l’humeur, les troubles digestifs mais aussi les douleurs. Et, fournit quelques astuces pour les amoindrir.

  • p.2

    La mammographie sur la sellette en Angleterre

    Deux lettres ouvertes publiées dans le British Medical Journal remettent en question la politique de dépistage du cancer du sein par mammographie au Royaume-Uni. Dans sa réponse à la question posée par le Pr Susan Bewley, le Pr Mike Richards, directeur en charge du cancer au ministère de la Santé britannique, appelle en effet à une réflexion devant mener à une réévaluation indépendante des études sur l’efficacité du dépistage du cancer du sein et dans un second temps à une analyse critique avec une confrontation des experts des deux bords.

  • p.2

    La discrétion de la Haute Autorité de santé

    Dans un récent argumentaire sur la lutte contre l’obésité destiné aux professionnels de santé, la Haute Autorité de santé (HAS) déconseille la prescription d’orlistat (Alli et Xenical). Les raisons invoquées sont peu encourageantes : "efficacité modeste, effets indésirables notamment digestifs, interactions médicamenteuses". Aux Etats-Unis, l’association de consommateurs Public Citizen va plus loin et demande son retrait du marché.

  • p.2

    La France à la traîne

    Alors que 3 pays (Norvège, Suède et Danemark) ont interdit l’amalgame dentaire à base de mercure, que le Conseil de l’Europe a adopté une résolution visant sa restriction voire son interdiction et que les Etats-Unis se sont prononcés pour sa suppression progressive dans le monde entier, la France reste le seul pays à s’y opposer. La toxicité du mercure est pourtant bien reconnue…

  • p.3

    Des médicaments à jeter aux oubliettes ?

    La Haute Autorité de santé (HAS) a réévalué les médicaments contre la maladie d’Alzheimer. 4 médicaments, Ebixa (mémantine), Aricept (donépézil), Exelon (rivastigmine) et Reminyl (galantamine), ont vu leur service médical rendu ou SMR revu à la baisse. Ils présentent maintenant un intérêt thérapeutique "faible" alors que ce dernier était qualifié d’"important" jusqu’à présent. La HAS pointe une efficacité faible avec des effets indésirables tels qu’elle préconise de restreindre la prescription à un an avec une évaluation à six mois. En pratique, on peut s’interroger sur la pertinence de continuer à les prescrire…

  • p.3

    Attention au progestatif

    Une récente étude menée sur les Danoises de 15 à 49 ans suivies de 2001 à 2009 a comparé le risque de thrombose veineuse selon le type de pilule contraceptive qu’elles utilisent. Le risque est multiplié par trois avec les pilules à base de lévonorgestrel et par six avec celles à base de désogestrel, de gestodène ou de drospirénone par rapport au risque existant chez les utilisatrices qui ne recourent pas à la contraception hormonale. Attention donc…

  • p.3

    Le coup de sang de l'Académie de médecine

    Dans un rapport intitulé "Compétence scientifique et technique de l’expert et qualité de l’expertise en responsabilité médicale", l’Académie de médecine souligne la nécessité de contrôler l’indépendance des experts et dénonce des liens de dépendance mal gérés. A propos des inscriptions ou réinscriptions sur les listes d’expert offertes au juge dans les affaires de responsabilité médicale, elle déplore également le fait que la compétence scientifique ne soit pas suffisamment prise en compte

  • p.8

    « Le jeûne m'a aidée à supporter la chimiothérapie »

    Apprenant qu’elle est atteinte d’un lymphome agressif pour lequel elle doit entamer au plus vite une chimiothérapie, Sylvie, 53 ans, s’aperçoit à l’hôpital qu’elle ne peut rien manger. Le jeûne, qu’elle envisageait de faire après son traitement, s’impose alors de lui-même. Pendant l’hospitalisation et les deux jours suivant son retour, elle ne mange pas, bois beaucoup et essaie de limiter au maximum les médicaments. Aujourd’hui, elle est sûre que ce jeûne a nettoyé son corps et permis de mieux affronter les effets secondaires de la chimiothérapie...En parallèle à ce témoignage, Que Choisir Santé éclaire sur les recherches en cours en Californie pour protéger les cellules saines et sur le jeûne tandis que le Dr Françoise Wilhelmi de Toledo précise comment concilier jeûne et traitement médicamenteux.

  • p.10

    Le gros bébé ne pèse plus très lourd

    Dans un passé pas si lointain, l’image du gros bébé ou bébé joufflu était celle d’un enfant en bonne santé, comme en témoignent les publicités. Mais, il semble bien à lire les témoignages de parents inquiets dans les forums Internet, que le spectre de l’obésité ait inversé cette tendance. Du moins dans l’esprit de beaucoup. Faut-il réellement s’inquiéter et faire maigrir les "bons" bébés ? Que Choisir Santé fait la part des choses et explique pourquoi il faut guetter le rebond d’adiposité et voir s’il est précoce.

  • p.11

    Fuites de salive

    Se mettre à baver pour un bébé, c’est banal, mais c’est déjà plus inquiétant lorsqu’il s’agit d’un adulte. Il est alors nécessaire de s’interroger. Les médecins appellent sialorrhée la production salivaire excessive. Elle peut être liée à un problème au niveau de la bouche, à la prise de médicaments ou encore à une maladie neurologique. Que Choisir Santé passe en revue ces causes et les remèdes possibles. Le rôle joué par la salive, et les difficultés à quantifier la gravité de la salivation excessive complètent ce « Mieux se connaître pour se soigner ».

  • p.13

    Les fausses maladies de Parkinson

    Dans 5 à 10% des cas, des patients diagnostiqués atteints de la maladie de Parkinson, ne le sont pas. Ils sont victimes des effets indésirables de certains médicaments, dont de nombreux neuroleptiques et antidépresseurs mais pas seulement, qui engendrent des symptômes semblables : mouvements lents, rigidité, tremblements etc. Il s’agit alors de syndrome parkinsonien. L’arrêt du traitement met fin à ces manifestations. Voici la liste des principaux des principaux médicaments incriminés.

  • p.16

    L'accès aux soins pour tous

    Toute personne résidant en France de manière stable et régulière et n’étant pas déjà couverte par un régime obligatoire d’Assurance maladie a droit à une couverture maladie. La CMU de base permet un accès aux soins et un remboursement des prestations et médicaments c’est-à-dire offre les mêmes droits que les autres assurés. La CMU-C assure, quant à elle, sous conditions de ressources, une protection complémentaire gratuite tandis que l’ACS ou aide à une complémentaire santé ouvre droit à ceux qui disposent de faibles revenus d’une réduction sur leur cotisation. Enfin, l’AME ou aide médicale d’Etat s’adresse aux sans-papiers. Ce "gros plan sur..." détaille ces prestations prises pour lutter contre les exclusions et permettre à tous un accès aux soins.

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