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Que Choisir Santé N°192 avril 2024

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Sommaire
  • p.2

    Selon que vous serez puissant ou misérable...

    Les préjugés sexistes et ethniques s’immiscent aussi dans la prise en charge médicale d’urgence, comme l’atteste une expérience menée par des médecins urgentistes. Ceux-ci ont demandé à plus de 1500 professionnels d’évaluer la gravité d’un cas clinique. Le même dossier était présenté mais accompagné d’une photo différente à chaque fois, celle d’un homme, d’une femme, d’un Blanc, d’un Noir, etc. Les répondants devaient alors dire si le patient relevait ou non d’une urgence vitale. Finalement, les chercheurs ont noté des différences de traitement selon le genre et la couleur de peau du patient. Ainsi, d’après cette étude, les femmes et les Noirs ont moins de chance d’être traités en priorité que les hommes et les Blancs.

  • p.2

    Jusqu'à 8 semaines après une infection

    Après une infection de type rhinopharyngite, grippe ou Covid, la toux peut persister jusqu’à 8 semaines. Sèche, il n’y a pas lieu de s’inquiéter mais si elle s’accompagne d’autres signes, attention, cela peut justifier une consultation médicale.

  • p.2

    Manger plus tôt le soir

    Mieux vaut ne pas dîner trop tard ou trop copieusement, souligne une étude portant sur 1 000 personnes interrogées sur leurs habitudes alimentaires. La prévalence de l’obésité est en effet plus élevée chez les personnes ayant ce comportement. Le fractionnement des prises, avec une ou des collations, semble en outre protecteur.

  • p.3

    Six ans avant de consulter

    Les personnes souffrant d’acouphènes mettent en moyenne 6-7 ans après les premiers symptômes pour consulter et 9 ans pour une prise en charge satisfaisante, d’après une étude réalisée par l’association JNA. Elles doivent, en outre, supporter des restes à charge élevés en raison d’appareillages et de consultations de professionnels de santé (psychologue, psychiatre) mal ou non remboursés par la Sécurité sociale.

  • p.3

    C'est un signe d'alerte

    La difficulté à marcher sur 1 kilomètre ou moins serait un indicateur fiable du risque de fracture osseuse. Ainsi, les femmes qui déclaraient être très limitées dans leur marche avaient un risque plus que doublé de fracture de la hanche ou des vertèbres que celles qui ne se sentaient pas limitées. Ces résultats indiquent qu’avoir du mal à marcher doit être considéré comme un signe d’alerte. Il faut alors mettre en place des mesures préventives, avant tout accident futur.

  • p.3

    Quels sont les meilleurs exercices ?

    L’exercice physique serait bien un traitement efficace de la dépression, selon une revue des études publiée dans le « British Medical Journal ». La marche ou la course à pied, le yoga, les exercices de musculation seraient les plus efficaces, suivis de la gymnastique et du taï-chi.

  • p.4

    Des cocktails dangereux entre médicaments

    On parle d’interaction médicamenteuse quand l’effet d’un médicament est modifié par la prise d’un autre médicament. Les interactions ont quelquefois du bon et sont recherchées dans un but thérapeutique mais la prise de 4 ou 5 médicaments exige souvent de la prudence, notamment avec l’avancée en âge. On classe les interactions médicamenteuses en 4 catégories selon le niveau de danger et la conduite à tenir : « contre-indiquées », « déconseillées », « avec précaution d’emploi » et, enfin, « à prendre en compte », certains médicaments étant plus à risque que d’autres. Pour avoir un aperçu de ces interactions médicamenteuses, « Que Choisir Santé » a analysé 375 ordonnances de plus de 5 lignes, pour des patients âgés en moyenne de 71 ans. Plus de 900 interactions ont été détectées. La majorité des ordonnances (55%) présentait entre 1 et 4 interactions. 53 présentaient des interactions « déconseillées » et dans 73% d’entre elles, les patients indiquaient n’avoir pas reçu de mise en garde particulière.

  • p.8

    Du sel, à la bonne dose

    L’OMS recommande de consommer moins de 5 g de sel/jour pour la santé. Mais les Français en consommeraient plutôt entre 7 g/jour (chez les hommes) et 8 g/jour (chez les femmes). Outre le sel ajouté, le sel caché dans les produits préparés participe grandement à cet excès. Avoir en tête quelques repères permet de respecter les doses conseillées. « Que Choisir Santé » livre quelques équivalences pour 1 g de sel. Ainsi, 1g de sel c’est 1 boîte de sardines ou une poignée d’olives ou 1 tranche de jambon blanc cuit, etc.

  • p.9

    Un progrès, vraiment ?

    Les pharmaciens sont habilités à réaliser un test rapide d’orientation diagnostique (Trod) de l’angine depuis juillet 2021. Ce test permet de déterminer si le patient souffre d’une angine virale ou bactérienne. Seulement dans ce dernier cas, la prescription d’un traitement antibiotique sera alors recommandée. Ce Trod angine en pharmacie, simple en apparence, comporte cependant de nombreuses exclusions et limites qui, en pratique, en limite l’intérêt.

  • p.10

    Éviter les saignements avec les anti-inflammatoires

    Les AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens), comme l’ibuprofène (Nurofen) ou le diclofénac (Voltarène) peuvent provoquer des hémorragies digestives (saignements). Cet effet indésirable, plus fréquent chez certaines personnes, peut toutefois être limité en prenant soin de bien utiliser les AINS. « Que Choisir Santé » dresse la liste des principales molécules augmentant le risque de saignements.

  • p.11

    "Mon mari a été empoisonné au travail"

    Jean, l’époux d’Yvette Loyer, est décédé à l’âge de 67 ans d’un cancer de la plèvre (mésothéliome). Il a respiré de la poussière d’amiante pendant des années à l’usine des Dunes où il travaillait. Yvette raconte son combat pour déclarer et faire reconnaitre la maladie professionnelle de son mari, mené avec l’aide de l’Association régionale du Nord-Pas-de-Calais (Ardeva) qu’elle a rejointe. L’indemnisation n’a pas apaisé sa colère. Elle se bat aujourd’hui pour qu’un procès au pénal ait lieu… « Que Choisir Santé » précise comment déclarer une maladie professionnelle, en parallèle à ce témoignage.

  • p.12

    Encore trop d'erreurs de prise en charge

    Encore trop de surdiagnostics et de surtraitements de cancers de la thyroïde sont constatés en France, notamment après 65 ans. La Haute Autorité de santé a donc émis de nouvelles recommandations de bonne pratique en 2023. Elle indique qu’il ne sert à rien de faire des analyses de la thyroïde sans symptômes évocateurs d’un dysfonctionnement de la thyroïde, qu’il faut limiter les imageries inutiles et ne plus traiter systématiquement. « Que Choisir Santé » explique dans le détail ces bonnes pratiques selon que la thyroïde ne produit pas assez d’hormones naturellement (hypothyroïdie) ou qu’elle en produit trop (hyperthyroïdie). La présence de nodules est également examinée.

  • p.16

    Les bons gestes au jardin

    On peut se faire mal en jardinant tant notre corps est sollicité. Après un petit échauffement pour préparer nos muscles à l’effort, il faut penser à protéger son dos et ses articulations. Ce « Focus » précise les bons gestes et les bonnes postures à adopter pour ne pas souffrir et se blesser au jardin.

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Les plus du magazine

  • Une information fiable et indépendante sur votre santé
  • Une expertise de praticiens reconnus : médecins, chercheurs, pharmacologue
  • Un décryptage objectif des maux courants qui nous empoisonnent la vie (douleurs musculaires, migraines…) et des sujets d’actualité
  • Une fiche médicaments pour éviter les effets secondaires et les interactions fâcheuses

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  • p.2

    Jusqu'à 8 semaines après une infection

    Après une infection de type rhinopharyngite, grippe ou Covid, la toux peut persister jusqu’à 8 semaines. Sèche, il n’y a pas lieu de s’inquiéter mais si elle s’accompagne d’autres signes, attention, cela peut justifier une consultation médicale.

  • p.2

    Manger plus tôt le soir

    Mieux vaut ne pas dîner trop tard ou trop copieusement, souligne une étude portant sur 1 000 personnes interrogées sur leurs habitudes alimentaires. La prévalence de l’obésité est en effet plus élevée chez les personnes ayant ce comportement. Le fractionnement des prises, avec une ou des collations, semble en outre protecteur.

  • p.3

    Six ans avant de consulter

    Les personnes souffrant d’acouphènes mettent en moyenne 6-7 ans après les premiers symptômes pour consulter et 9 ans pour une prise en charge satisfaisante, d’après une étude réalisée par l’association JNA. Elles doivent, en outre, supporter des restes à charge élevés en raison d’appareillages et de consultations de professionnels de santé (psychologue, psychiatre) mal ou non remboursés par la Sécurité sociale.

  • p.3

    C'est un signe d'alerte

    La difficulté à marcher sur 1 kilomètre ou moins serait un indicateur fiable du risque de fracture osseuse. Ainsi, les femmes qui déclaraient être très limitées dans leur marche avaient un risque plus que doublé de fracture de la hanche ou des vertèbres que celles qui ne se sentaient pas limitées. Ces résultats indiquent qu’avoir du mal à marcher doit être considéré comme un signe d’alerte. Il faut alors mettre en place des mesures préventives, avant tout accident futur.

  • p.3

    Quels sont les meilleurs exercices ?

    L’exercice physique serait bien un traitement efficace de la dépression, selon une revue des études publiée dans le « British Medical Journal ». La marche ou la course à pied, le yoga, les exercices de musculation seraient les plus efficaces, suivis de la gymnastique et du taï-chi.

  • p.4

    Des cocktails dangereux entre médicaments

    On parle d’interaction médicamenteuse quand l’effet d’un médicament est modifié par la prise d’un autre médicament. Les interactions ont quelquefois du bon et sont recherchées dans un but thérapeutique mais la prise de 4 ou 5 médicaments exige souvent de la prudence, notamment avec l’avancée en âge. On classe les interactions médicamenteuses en 4 catégories selon le niveau de danger et la conduite à tenir : « contre-indiquées », « déconseillées », « avec précaution d’emploi » et, enfin, « à prendre en compte », certains médicaments étant plus à risque que d’autres. Pour avoir un aperçu de ces interactions médicamenteuses, « Que Choisir Santé » a analysé 375 ordonnances de plus de 5 lignes, pour des patients âgés en moyenne de 71 ans. Plus de 900 interactions ont été détectées. La majorité des ordonnances (55%) présentait entre 1 et 4 interactions. 53 présentaient des interactions « déconseillées » et dans 73% d’entre elles, les patients indiquaient n’avoir pas reçu de mise en garde particulière.

  • p.8

    Du sel, à la bonne dose

    L’OMS recommande de consommer moins de 5 g de sel/jour pour la santé. Mais les Français en consommeraient plutôt entre 7 g/jour (chez les hommes) et 8 g/jour (chez les femmes). Outre le sel ajouté, le sel caché dans les produits préparés participe grandement à cet excès. Avoir en tête quelques repères permet de respecter les doses conseillées. « Que Choisir Santé » livre quelques équivalences pour 1 g de sel. Ainsi, 1g de sel c’est 1 boîte de sardines ou une poignée d’olives ou 1 tranche de jambon blanc cuit, etc.

  • p.9

    Un progrès, vraiment ?

    Les pharmaciens sont habilités à réaliser un test rapide d’orientation diagnostique (Trod) de l’angine depuis juillet 2021. Ce test permet de déterminer si le patient souffre d’une angine virale ou bactérienne. Seulement dans ce dernier cas, la prescription d’un traitement antibiotique sera alors recommandée. Ce Trod angine en pharmacie, simple en apparence, comporte cependant de nombreuses exclusions et limites qui, en pratique, en limite l’intérêt.

  • p.10

    Éviter les saignements avec les anti-inflammatoires

    Les AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens), comme l’ibuprofène (Nurofen) ou le diclofénac (Voltarène) peuvent provoquer des hémorragies digestives (saignements). Cet effet indésirable, plus fréquent chez certaines personnes, peut toutefois être limité en prenant soin de bien utiliser les AINS. « Que Choisir Santé » dresse la liste des principales molécules augmentant le risque de saignements.

  • p.11

    "Mon mari a été empoisonné au travail"

    Jean, l’époux d’Yvette Loyer, est décédé à l’âge de 67 ans d’un cancer de la plèvre (mésothéliome). Il a respiré de la poussière d’amiante pendant des années à l’usine des Dunes où il travaillait. Yvette raconte son combat pour déclarer et faire reconnaitre la maladie professionnelle de son mari, mené avec l’aide de l’Association régionale du Nord-Pas-de-Calais (Ardeva) qu’elle a rejointe. L’indemnisation n’a pas apaisé sa colère. Elle se bat aujourd’hui pour qu’un procès au pénal ait lieu… « Que Choisir Santé » précise comment déclarer une maladie professionnelle, en parallèle à ce témoignage.

  • p.12

    Encore trop d'erreurs de prise en charge

    Encore trop de surdiagnostics et de surtraitements de cancers de la thyroïde sont constatés en France, notamment après 65 ans. La Haute Autorité de santé a donc émis de nouvelles recommandations de bonne pratique en 2023. Elle indique qu’il ne sert à rien de faire des analyses de la thyroïde sans symptômes évocateurs d’un dysfonctionnement de la thyroïde, qu’il faut limiter les imageries inutiles et ne plus traiter systématiquement. « Que Choisir Santé » explique dans le détail ces bonnes pratiques selon que la thyroïde ne produit pas assez d’hormones naturellement (hypothyroïdie) ou qu’elle en produit trop (hyperthyroïdie). La présence de nodules est également examinée.

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    Les bons gestes au jardin

    On peut se faire mal en jardinant tant notre corps est sollicité. Après un petit échauffement pour préparer nos muscles à l’effort, il faut penser à protéger son dos et ses articulations. Ce « Focus » précise les bons gestes et les bonnes postures à adopter pour ne pas souffrir et se blesser au jardin.

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