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Que Choisir Santé N°183 juin 2023

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Sommaire
  • p.2

    Silences coupables

    La Cour de cassation vient de condamner un laboratoire et un cardiologue pour le décès d’un patient traité par amiodarone, un médicament prescrit pour des troubles du rythme cardiaque. L’homme est décédé d’une fibrose pulmonaire, un effet indésirable grave, lié à son traitement mais non clairement signalé sur la notice du médicament. La responsabilité du fabricant Biogaran et celle du cardiologue prescripteur ont été retenues par la justice. Tout médicament comporte des risques. Choisir les bons termes pour en informer les patients est primordial. « Que Choisir Santé » s’y emploie chaque mois.

  • p.2

    Pourquoi l'ours n'en fait pas

    Pendant son hibernation, l’ours brun ne développe pas de thrombose, quoiqu’immobilisé pendant des semaines. Partant de ce constat, des chercheurs ont découvert chez l’ours en hibernation, un taux faible de protéine HSP47, laquelle régule l’inflammation et l’activation des plaquettes. Ils ont observé le même phénomène chez des patients paraplégiques ainsi que des volontaires alités pendant 28 jours. Ainsi, la réduction de l’activité de cette protéine permettrait de prévenir le risque de formation de caillot sanguin.

  • p.2

    Des vies sauvées grâce à la cortisone

    L’hydrocortisone, un corticoïde, améliore la survie des patients atteints de pneumonie grave, d’après un récent essai clinique mené par le CHRU de Tours. La mortalité a été divisée par deux dans le groupe de patients hospitalisés en soins intensifs, traités par hydrocortisone, sans davantage d’infections. L’efficacité de l’hydrocortisone n’avait jamais été prouvée jusqu’alors. Ces résultats devraient permettre une meilleure prise en charge des patients.

  • p.3

    Un quart des cancers du sein sont diagnostiqués en excès

    Lorsqu’on détecte et que l’on traite des lésions cancéreuses alors qu’elles n’auraient pas eu d’impact sur la santé du patient, on parle de « surdiagnostic ». Les traitements sont inutiles et donc néfastes. Une récente étude parue dans la revue « Cancer Epidemiology » a évalué ce surdiagnostic à 1 cancer sur 4 cancers du sein dépistés.

  • p.3

    Les mauvaises raisons du traitement

    L’USPSTF (U.S. Preventive Services Task Force), un groupe d’experts américains en santé a rappelé que le traitement hormonal de la ménopause (THM) ne doit pas être prescrit aux femmes en prévention des maladies survenant avec l’âge (accident cardiovasculaire, prévention de la perte et des fractures osseuses, etc.), lors de ses nouvelles recommandations parues fin 2022. L’USPSTF a conclu qu’aucun bénéfice du THM n’était prouvé en prévention de tels troubles.

  • p.3

    Une aubaine pour les moustiques

    La présence du moustique tigre (Aedes albopictus), vecteur de maladies comme la dengue, le chikungunya et le zika, s’étend en France métropolitaine. Seuls 24 départements ne sont pas encore colonisés. Là encore, le changement climatique est en cause : avec des températures plus douces, les moustiques se multiplient plus rapidement et les virus se transmettent également plus facilement.

  • p.4

    Retrouvez le confort

    Ballonnements, gaz, douleurs ou gargouillements sont les principales manifestations d’une mauvaise digestion. On estime que 5 millions de personnes en France souffriraient ainsi d’inconfort digestif. Afin de lutter contre ces désagréments, des médicaments contre la douleur (antispasmodiques), des compléments alimentaires à base de probiotiques, des huiles essentielles et des plantes contre les gaz et les ballonnements revendiquent une efficacité. « Que Choisir Santé » fait le tri parmi ces traitements en se basant sur les données scientifiques : finalement, peu s’avèrent réellement utiles et beaucoup sont à éviter ou à prendre de façon limitée. La meilleure solution se trouve encore dans l’assiette notamment avec la réduction ou l’éviction des aliments qui posent un problème (Fodmaps, fibres insolubles, etc.). L’activité physique constitue le second levier d’action, il réduit le stress et améliore le sommeil.

  • p.8

    Accompagner un proche en fin de vie

    Une personne en « fin de vie » est une personne en phase avancée ou terminale d’une maladie grave et incurable. Depuis 2022, la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) propose une formation gratuite intitulée Derniers Secours. Par ailleurs, il est possible d’améliorer les conditions de vie en « fin de vie » par un accompagnement adapté : soulagement de la douleur et des symptômes, écoute des souhaits du patient, etc.

  • p.9

    Est-il un perturbateur endocrinien ?

    En décembre 2021, la revue « Nature Reviews Endocrinology » lançait un pavé dans la mare. Des chercheurs internationaux alertaient sur les effets néfastes sur notre système hormonal du paracétamol consommé pendant la grossesse : il entraînerait des troubles du développement neuronal et des malformations génitales. En d’autres termes, le paracétamol serait un perturbateur endocrinien, à l’instar d’autres médicaments comme les corticoïdes, certains opioïdes, ou le Distilbène. Cet antidouleur, parmi les plus utilisés, serait-il donc dangereux ? Et, quels seraient les risques pour les enfants exposés in utero ? « Que Choisir Santé » revient en détails sur les controverses scientifiques qui entourent le rôle de « perturbateur endocrinien » du paracétamol et sur l’appréciation de ce risque.

  • p.10

    Troubles de l'odorat, et si c'était un médicament ?

    Qu’ils s’agissent d’une incapacité totale ou partielle à percevoir les odeurs (anosmie ou hyposmie), d’une perception erronée des stimuli olfactifs (parosmie), ou encore d’hallucinations olfactives (phantosmie), les troubles de l’odorat peuvent avoir une origine médicamenteuse. Ces dysosmies augmentent avec l’âge mais peuvent être réversibles avec l’arrêt du traitement. « Que Choisir Santé » liste les principaux médicaments impliqués dans ces troubles, en précisant, en outre, que des tests psycho-olfactifs peuvent être pratiqués par un ORL en cas de symptômes.

  • p.11

    « J’ai proposé un dépistage en pharmacie »

    L’hypertension artérielle et le diabète sont responsables de la moitié des cas d’insuffisance rénale chronique. Un dépistage et une surveillance régulière de ces deux facteurs de risque s’avèrent donc essentiels pour détecter précocement l’apparition de la maladie et retarder son évolution. Partant de ce constat et sachant que les patients se rendent en pharmacie pour leur traitement, Aziz Aberkane, atteint d’insuffisance rénale, patient partenaire et membre de l’association France Rein, a lancé une expérimentation de dépistage en pharmacie. Cette expérimentation baptisée Tircel-Extra a démarré à Lyon. Elle consiste en deux tests simples, le prélèvement d’une goutte de sang au bout du doigt et un test urinaire, afin de mesurer la créatinine dans le sang et l’albumine dans les urines. Son succès l’amène à envisager une expérimentation au niveau national.

  • p.12

    Comment agir

    Les ordonnances des plus de 65 ans comportent fréquemment plus de 5 médicaments quotidiens, parfois même plus de 10. Or toute prescription médicamenteuse n’est pas exempte de risques, effets secondaires ou risques d’interactions graves. Le programme « Choosing Wisely » (« Choisir avec soin » en français) né dans les années 2010 aux États-Unis, entend réévaluer, à intervalle régulier, la pertinence d’une prescription, selon une balance bénéfices-risques. Il s’agit d’améliorer la prise en charge des patients en les associant aux décisions. « Que Choisir Santé » explique comment, dans les faits, limiter les ordonnances à rallonge grâce à des listes de prescriptions médicamenteuses à éviter, à un travail collaboratif issu des discussions entre médecin et patient afin de favoriser une décision partagée, également.

  • p.16

    La hernie hiatale

    Une hernie hiatale est le passage d’une partie de l’estomac à travers le hiatus (orifice dans le diaphragme par lequel l’œsophage rejoint l’estomac), formant une poche au-dessus du diaphragme. Il existe 2 types de hernie hiatale : l’une par glissement et l’autre par roulement. « Que Choisir Santé » explique les causes et les principaux symptômes de celles-ci.

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Les plus du magazine

  • Une information fiable et indépendante sur votre santé
  • Une expertise de praticiens reconnus : médecins, chercheurs, pharmacologue
  • Un décryptage objectif des maux courants qui nous empoisonnent la vie (douleurs musculaires, migraines…) et des sujets d’actualité
  • Une fiche médicaments pour éviter les effets secondaires et les interactions fâcheuses

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    La Cour de cassation vient de condamner un laboratoire et un cardiologue pour le décès d’un patient traité par amiodarone, un médicament prescrit pour des troubles du rythme cardiaque. L’homme est décédé d’une fibrose pulmonaire, un effet indésirable grave, lié à son traitement mais non clairement signalé sur la notice du médicament. La responsabilité du fabricant Biogaran et celle du cardiologue prescripteur ont été retenues par la justice. Tout médicament comporte des risques. Choisir les bons termes pour en informer les patients est primordial. « Que Choisir Santé » s’y emploie chaque mois.

  • p.2

    Pourquoi l'ours n'en fait pas

    Pendant son hibernation, l’ours brun ne développe pas de thrombose, quoiqu’immobilisé pendant des semaines. Partant de ce constat, des chercheurs ont découvert chez l’ours en hibernation, un taux faible de protéine HSP47, laquelle régule l’inflammation et l’activation des plaquettes. Ils ont observé le même phénomène chez des patients paraplégiques ainsi que des volontaires alités pendant 28 jours. Ainsi, la réduction de l’activité de cette protéine permettrait de prévenir le risque de formation de caillot sanguin.

  • p.2

    Des vies sauvées grâce à la cortisone

    L’hydrocortisone, un corticoïde, améliore la survie des patients atteints de pneumonie grave, d’après un récent essai clinique mené par le CHRU de Tours. La mortalité a été divisée par deux dans le groupe de patients hospitalisés en soins intensifs, traités par hydrocortisone, sans davantage d’infections. L’efficacité de l’hydrocortisone n’avait jamais été prouvée jusqu’alors. Ces résultats devraient permettre une meilleure prise en charge des patients.

  • p.3

    Un quart des cancers du sein sont diagnostiqués en excès

    Lorsqu’on détecte et que l’on traite des lésions cancéreuses alors qu’elles n’auraient pas eu d’impact sur la santé du patient, on parle de « surdiagnostic ». Les traitements sont inutiles et donc néfastes. Une récente étude parue dans la revue « Cancer Epidemiology » a évalué ce surdiagnostic à 1 cancer sur 4 cancers du sein dépistés.

  • p.3

    Les mauvaises raisons du traitement

    L’USPSTF (U.S. Preventive Services Task Force), un groupe d’experts américains en santé a rappelé que le traitement hormonal de la ménopause (THM) ne doit pas être prescrit aux femmes en prévention des maladies survenant avec l’âge (accident cardiovasculaire, prévention de la perte et des fractures osseuses, etc.), lors de ses nouvelles recommandations parues fin 2022. L’USPSTF a conclu qu’aucun bénéfice du THM n’était prouvé en prévention de tels troubles.

  • p.3

    Une aubaine pour les moustiques

    La présence du moustique tigre (Aedes albopictus), vecteur de maladies comme la dengue, le chikungunya et le zika, s’étend en France métropolitaine. Seuls 24 départements ne sont pas encore colonisés. Là encore, le changement climatique est en cause : avec des températures plus douces, les moustiques se multiplient plus rapidement et les virus se transmettent également plus facilement.

  • p.4

    Retrouvez le confort

    Ballonnements, gaz, douleurs ou gargouillements sont les principales manifestations d’une mauvaise digestion. On estime que 5 millions de personnes en France souffriraient ainsi d’inconfort digestif. Afin de lutter contre ces désagréments, des médicaments contre la douleur (antispasmodiques), des compléments alimentaires à base de probiotiques, des huiles essentielles et des plantes contre les gaz et les ballonnements revendiquent une efficacité. « Que Choisir Santé » fait le tri parmi ces traitements en se basant sur les données scientifiques : finalement, peu s’avèrent réellement utiles et beaucoup sont à éviter ou à prendre de façon limitée. La meilleure solution se trouve encore dans l’assiette notamment avec la réduction ou l’éviction des aliments qui posent un problème (Fodmaps, fibres insolubles, etc.). L’activité physique constitue le second levier d’action, il réduit le stress et améliore le sommeil.

  • p.8

    Accompagner un proche en fin de vie

    Une personne en « fin de vie » est une personne en phase avancée ou terminale d’une maladie grave et incurable. Depuis 2022, la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) propose une formation gratuite intitulée Derniers Secours. Par ailleurs, il est possible d’améliorer les conditions de vie en « fin de vie » par un accompagnement adapté : soulagement de la douleur et des symptômes, écoute des souhaits du patient, etc.

  • p.9

    Est-il un perturbateur endocrinien ?

    En décembre 2021, la revue « Nature Reviews Endocrinology » lançait un pavé dans la mare. Des chercheurs internationaux alertaient sur les effets néfastes sur notre système hormonal du paracétamol consommé pendant la grossesse : il entraînerait des troubles du développement neuronal et des malformations génitales. En d’autres termes, le paracétamol serait un perturbateur endocrinien, à l’instar d’autres médicaments comme les corticoïdes, certains opioïdes, ou le Distilbène. Cet antidouleur, parmi les plus utilisés, serait-il donc dangereux ? Et, quels seraient les risques pour les enfants exposés in utero ? « Que Choisir Santé » revient en détails sur les controverses scientifiques qui entourent le rôle de « perturbateur endocrinien » du paracétamol et sur l’appréciation de ce risque.

  • p.10

    Troubles de l'odorat, et si c'était un médicament ?

    Qu’ils s’agissent d’une incapacité totale ou partielle à percevoir les odeurs (anosmie ou hyposmie), d’une perception erronée des stimuli olfactifs (parosmie), ou encore d’hallucinations olfactives (phantosmie), les troubles de l’odorat peuvent avoir une origine médicamenteuse. Ces dysosmies augmentent avec l’âge mais peuvent être réversibles avec l’arrêt du traitement. « Que Choisir Santé » liste les principaux médicaments impliqués dans ces troubles, en précisant, en outre, que des tests psycho-olfactifs peuvent être pratiqués par un ORL en cas de symptômes.

  • p.11

    « J’ai proposé un dépistage en pharmacie »

    L’hypertension artérielle et le diabète sont responsables de la moitié des cas d’insuffisance rénale chronique. Un dépistage et une surveillance régulière de ces deux facteurs de risque s’avèrent donc essentiels pour détecter précocement l’apparition de la maladie et retarder son évolution. Partant de ce constat et sachant que les patients se rendent en pharmacie pour leur traitement, Aziz Aberkane, atteint d’insuffisance rénale, patient partenaire et membre de l’association France Rein, a lancé une expérimentation de dépistage en pharmacie. Cette expérimentation baptisée Tircel-Extra a démarré à Lyon. Elle consiste en deux tests simples, le prélèvement d’une goutte de sang au bout du doigt et un test urinaire, afin de mesurer la créatinine dans le sang et l’albumine dans les urines. Son succès l’amène à envisager une expérimentation au niveau national.

  • p.12

    Comment agir

    Les ordonnances des plus de 65 ans comportent fréquemment plus de 5 médicaments quotidiens, parfois même plus de 10. Or toute prescription médicamenteuse n’est pas exempte de risques, effets secondaires ou risques d’interactions graves. Le programme « Choosing Wisely » (« Choisir avec soin » en français) né dans les années 2010 aux États-Unis, entend réévaluer, à intervalle régulier, la pertinence d’une prescription, selon une balance bénéfices-risques. Il s’agit d’améliorer la prise en charge des patients en les associant aux décisions. « Que Choisir Santé » explique comment, dans les faits, limiter les ordonnances à rallonge grâce à des listes de prescriptions médicamenteuses à éviter, à un travail collaboratif issu des discussions entre médecin et patient afin de favoriser une décision partagée, également.

  • p.16

    La hernie hiatale

    Une hernie hiatale est le passage d’une partie de l’estomac à travers le hiatus (orifice dans le diaphragme par lequel l’œsophage rejoint l’estomac), formant une poche au-dessus du diaphragme. Il existe 2 types de hernie hiatale : l’une par glissement et l’autre par roulement. « Que Choisir Santé » explique les causes et les principaux symptômes de celles-ci.

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