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Couverture Que Choisir Santé - 148

Que Choisir Santé N°148 avril 2020

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Sommaire
  • p.1

    Ne gobez pas tout !

    En matière de conseils nutritionnels, il existe des modes, comme en toute chose. Ainsi certains aliments et pratiques sont un temps privilégiés avant d’être abandonnés. Ces évolutions tiennent compte, par ailleurs, des découvertes scientifiques et de la difficulté à établir des liens de cause à effet entre la nutrition et la santé. « Que Choisir Santé » décrypte, dans ce dossier, 9 aliments ou pratiques qui font actuellement débat : la monodiète, le jeûne intermittent, les régimes pauvres en fodmaps et ceux contre l’arthrose, les super aliments (curcuma, grenade, etc.), le soja, les omégas 3 et la vitamine D, les laitages, et enfin, les légumineuses. Si quelques-uns ont un réel intérêt pour la santé, d’autres sont inutiles voire dangereux. L’abus d’aliments ultratransformés (AUT) est ainsi néfaste.

  • p.2

    Une épreuve collective et individuelle

    L’épidémie de Covid-19 nous impose le confinement. Quoique difficile, cette mesure est des plus efficaces pour lutter contre la propagation du virus. Respectons-là ! L’enjeu est à la fois personnel mais aussi collectif.

  • p.2

    Les médecins sont désinformés

    Des chercheurs canadiens se sont intéressés à l’information donnée aux médecins par les visiteurs médicaux promouvant les opioïdes, aux États-Unis, au Canada et en France. Pour ce faire, ils ont analysé et comparé le contenu de leurs échanges. Il semblerait que le discours commercial des visiteurs médicaux, jugé de qualité par les médecins, minimisent les effets secondaires et les risque de dépendance associé à ces médicaments.

  • p.3

    Ne vous fiez pas aux applis sur votre téléphone

    Les applications SkinVision, Miiskin, TeleSkin ou SkinScan permettent de repérer les lésions potentiellement suspectes de la peau à partir de la photo d’un grain de beauté prise avec son smartphone. Attention, ces applications de dépistage ne seraient pas fiables, affirment des chercheurs anglais. Selon eux, elles détectent mal les lésions précancéreuses, loupant entre 5 et 37% d’entre elles. De plus, elles peuvent identifier à tort certains grains de beauté comme étant dangereux. À éviter, donc !

  • p.3

    Des soins différents selon l'äge

    Les chirurgiens cardiaques ne prodiguent pas les mêmes soins aux patients, selon leur âge, lorsqu’ils sont admis pour un infarctus. C’est ce que montre une récente étude publiée dans le « New England Journal of Medicine ». Ainsi, les 80 ans et plus bénéficient de moins de pontage que ceux âgés de 79 ans et moins car l’opération est perçue plus à risque. Or, d’après les auteurs, il y a, pour eux, perte de chance.

  • p.3

    Les résultats modestes du dépistage

    Les essais menés sur le dépistage du cancer du poumon n’ont jusque-là pas été concluants. Une nouvelle étude menée aux Pays-Bas et en Belgique semble, pour la première fois, montrer un bénéfice avec une réduction modeste de la mortalité par cancer du poumon chez les hommes à fort risque. Toutefois, les nombreux défauts et limites de l’essai ne permettent pas de conclure quant à un réel intérêt.

  • p.8

    "Je m'emplis les yeux de beaux souvenirs"

    Josée a su qu’elle était atteinte d’un glaucome à 50 ans lors d’une visite de routine chez son ophtalmologue. Sa tension oculaire était pourtant normale. Aujourd’hui âgée de 61 ans, elle est plus apaisée et a choisi de témoigner pour alerter des dangers de cette maladie oculaire grave. En parallèle à son histoire, « Que Choisir Santé » explique comment se traite le glaucome. Bénévole au sein de l’Association France Glaucome, Josée expose aussi le travail de l’association qui milite actuellement pour faire inscrire la maladie sur la liste des affections de longue durée (ALD).

  • p.10

    Pose-t-on trop de stents ?

    En cas de maladie coronarienne (rétrécissement des coronaires ou athérosclérose), il existe un risque de formation de caillots sanguins. Le médecin a la possibilité d’insérer dans l’artère du patient un petit ressort, appelé stent, de façon à augmenter son diamètre afin de rétablir un flux sanguin normal. Cette intervention est très fréquente en France. Trop ? s’est interrogé « Que Choisir Santé ». La pose de stents devrait être réservée à deux situations car d’autres options moins invasives existent. Il semblerait, d’après les études menées, qu’il y ait bien surprescription de cet acte.

  • p.11

    Quand en bénéficier

    De nombreuses plateformes de télémédecine permettent aujourd’hui aux médecins de faire des consultations médicales en ligne. Ce service, précieux pour les patients vivant dans des déserts médicaux, suppose toutefois quelques prérequis techniques. « Que Choisir Santé » explique quand et comment un patient peut recourir à une téléconsutation mais aussi comment se déroule l’examen. En outre, il souligne les atouts et les faiblesses de mode d’exercice notamment le cadre restrictif de la téléconsultation admise au remboursement.

  • p.13

    Évitez les erreurs avec les inhalateurs

    L’inhalation de médicaments est la méthode la plus adaptée pour traiter certaines affections respiratoires comme l’asthme ou la BPCO. Ainsi délivré, le médicament atteint rapidement les bronches mais à condition de choisir le bon type d’inhalateur et de bien l’utiliser. Pour ce faire, quelques règles de bon usage du dispositif ainsi que des précautions d’entretien doivent être respectés.

  • p.16

    Les implants dentaires

    L’implant dentaire peut être une bonne alternative lorsqu’il s’agit de remplacer une dent manquante. Ce « Gros plan sur » présente tout ce qu’il faut savoir avant de franchir le pas : comment se déroule la pose d’un implant, son coût, sa prise en charge par la Sécurité sociale et les complémentaires, ses contre-indications, ses avantages ainsi que ses limites.

Voir le sommaire complet

Les plus du magazine

  • Une information fiable et indépendante sur votre santé
  • Une expertise de praticiens reconnus : médecins, chercheurs, pharmacologue
  • Un décryptage objectif des maux courants qui nous empoisonnent la vie (douleurs musculaires, migraines…) et des sujets d’actualité
  • Une fiche médicaments pour éviter les effets secondaires et les interactions fâcheuses

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    Ne gobez pas tout !

    En matière de conseils nutritionnels, il existe des modes, comme en toute chose. Ainsi certains aliments et pratiques sont un temps privilégiés avant d’être abandonnés. Ces évolutions tiennent compte, par ailleurs, des découvertes scientifiques et de la difficulté à établir des liens de cause à effet entre la nutrition et la santé. « Que Choisir Santé » décrypte, dans ce dossier, 9 aliments ou pratiques qui font actuellement débat : la monodiète, le jeûne intermittent, les régimes pauvres en fodmaps et ceux contre l’arthrose, les super aliments (curcuma, grenade, etc.), le soja, les omégas 3 et la vitamine D, les laitages, et enfin, les légumineuses. Si quelques-uns ont un réel intérêt pour la santé, d’autres sont inutiles voire dangereux. L’abus d’aliments ultratransformés (AUT) est ainsi néfaste.

  • p.2

    Une épreuve collective et individuelle

    L’épidémie de Covid-19 nous impose le confinement. Quoique difficile, cette mesure est des plus efficaces pour lutter contre la propagation du virus. Respectons-là ! L’enjeu est à la fois personnel mais aussi collectif.

  • p.2

    Les médecins sont désinformés

    Des chercheurs canadiens se sont intéressés à l’information donnée aux médecins par les visiteurs médicaux promouvant les opioïdes, aux États-Unis, au Canada et en France. Pour ce faire, ils ont analysé et comparé le contenu de leurs échanges. Il semblerait que le discours commercial des visiteurs médicaux, jugé de qualité par les médecins, minimisent les effets secondaires et les risque de dépendance associé à ces médicaments.

  • p.3

    Ne vous fiez pas aux applis sur votre téléphone

    Les applications SkinVision, Miiskin, TeleSkin ou SkinScan permettent de repérer les lésions potentiellement suspectes de la peau à partir de la photo d’un grain de beauté prise avec son smartphone. Attention, ces applications de dépistage ne seraient pas fiables, affirment des chercheurs anglais. Selon eux, elles détectent mal les lésions précancéreuses, loupant entre 5 et 37% d’entre elles. De plus, elles peuvent identifier à tort certains grains de beauté comme étant dangereux. À éviter, donc !

  • p.3

    Des soins différents selon l'äge

    Les chirurgiens cardiaques ne prodiguent pas les mêmes soins aux patients, selon leur âge, lorsqu’ils sont admis pour un infarctus. C’est ce que montre une récente étude publiée dans le « New England Journal of Medicine ». Ainsi, les 80 ans et plus bénéficient de moins de pontage que ceux âgés de 79 ans et moins car l’opération est perçue plus à risque. Or, d’après les auteurs, il y a, pour eux, perte de chance.

  • p.3

    Les résultats modestes du dépistage

    Les essais menés sur le dépistage du cancer du poumon n’ont jusque-là pas été concluants. Une nouvelle étude menée aux Pays-Bas et en Belgique semble, pour la première fois, montrer un bénéfice avec une réduction modeste de la mortalité par cancer du poumon chez les hommes à fort risque. Toutefois, les nombreux défauts et limites de l’essai ne permettent pas de conclure quant à un réel intérêt.

  • p.8

    "Je m'emplis les yeux de beaux souvenirs"

    Josée a su qu’elle était atteinte d’un glaucome à 50 ans lors d’une visite de routine chez son ophtalmologue. Sa tension oculaire était pourtant normale. Aujourd’hui âgée de 61 ans, elle est plus apaisée et a choisi de témoigner pour alerter des dangers de cette maladie oculaire grave. En parallèle à son histoire, « Que Choisir Santé » explique comment se traite le glaucome. Bénévole au sein de l’Association France Glaucome, Josée expose aussi le travail de l’association qui milite actuellement pour faire inscrire la maladie sur la liste des affections de longue durée (ALD).

  • p.10

    Pose-t-on trop de stents ?

    En cas de maladie coronarienne (rétrécissement des coronaires ou athérosclérose), il existe un risque de formation de caillots sanguins. Le médecin a la possibilité d’insérer dans l’artère du patient un petit ressort, appelé stent, de façon à augmenter son diamètre afin de rétablir un flux sanguin normal. Cette intervention est très fréquente en France. Trop ? s’est interrogé « Que Choisir Santé ». La pose de stents devrait être réservée à deux situations car d’autres options moins invasives existent. Il semblerait, d’après les études menées, qu’il y ait bien surprescription de cet acte.

  • p.11

    Quand en bénéficier

    De nombreuses plateformes de télémédecine permettent aujourd’hui aux médecins de faire des consultations médicales en ligne. Ce service, précieux pour les patients vivant dans des déserts médicaux, suppose toutefois quelques prérequis techniques. « Que Choisir Santé » explique quand et comment un patient peut recourir à une téléconsutation mais aussi comment se déroule l’examen. En outre, il souligne les atouts et les faiblesses de mode d’exercice notamment le cadre restrictif de la téléconsultation admise au remboursement.

  • p.13

    Évitez les erreurs avec les inhalateurs

    L’inhalation de médicaments est la méthode la plus adaptée pour traiter certaines affections respiratoires comme l’asthme ou la BPCO. Ainsi délivré, le médicament atteint rapidement les bronches mais à condition de choisir le bon type d’inhalateur et de bien l’utiliser. Pour ce faire, quelques règles de bon usage du dispositif ainsi que des précautions d’entretien doivent être respectés.

  • p.16

    Les implants dentaires

    L’implant dentaire peut être une bonne alternative lorsqu’il s’agit de remplacer une dent manquante. Ce « Gros plan sur » présente tout ce qu’il faut savoir avant de franchir le pas : comment se déroule la pose d’un implant, son coût, sa prise en charge par la Sécurité sociale et les complémentaires, ses contre-indications, ses avantages ainsi que ses limites.

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