Que Choisir Santé N° 127 - mai 2018

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Sommaire

  • p. 1

    Dossier santé  La fracture du col du fémur

    La fracture du col du fémur intervient souvent après une chute. Elle touche principalement les personnes âgées et davantage les femmes que les hommes. Or, ses conséquences ne se limitent pas à l’hospitalisation : la peur de retomber freine la mobilité et les risques d’invalidité, de rechute augmentent avec de lourds impacts au quotidien. Dans ce dossier, « Que Choisir Santé » donne toutes les informations utiles quant à la prise en charge de cet accident, de la pose du diagnostic au traitement chirurgical (ostéosynthèse et prothèse de la hanche) en passant par la sortie d’hôpital. Après, il faut limiter au maximum les complications médicales et envisager une nécessaire rééducation. Le retour à l’autonomie et à une bonne qualité de vie en dépendent.

  • p. 2

    Editorial  Médecins ou sorciers ?

    « Comment faire face à la montée des “fake médecines” ? », telle était intitulée la tribune publiée dans le « Figaro » du 19 mars dernier, signée par 124 médecins. Elle visait notamment l’homéopathie, accusée d’être, selon ces derniers, une « fausse thérapie à l’efficacité illusoire ». Les réactions des pro- et des anti-médecines alternatives ont été violentes. Rappelons que les médecins utilisent l’effet placebo pour mobiliser les capacités de guérison du malade et qu’une bonne relation médecin-patient participe à la réussite du traitement. Plutôt que de faire croire au pouvoir de petites granules, il vaudrait mieux « cultiver ce puissant levier » !

  • p. 2

    Actualité  Traiter ou surveiller ?

    Selon l’âge de la patiente, les lésions précancéreuses du col de l’utérus qualifiées de « haut grade » (les CIN2 et 3) sont traitées ou pas en raison de risques d’accouchement prématuré ou de fausse couche. Des travaux ont montré que ces lésions pouvaient régresser spontanément, aussi leur surveillance active est-elle recommandée chez les femmes jeunes en âge de procréer. Une revue des études publiée dans le « British Medical Journal » s’est intéressée au devenir des CIN2 chez les femmes n’ayant pas été opérées. Sur les 36 études retenues, elle a montré une régression des lésions, dans la moitié des cas, après 2 ans de suivi. Selon les auteurs, la surveillance active est donc justifiée, si elle est bien respectée, en cas de projet de grossesse.

  • p. 3

    Actualité  Une amélioration perfectible

    L’accident vasculaire cérébral (AVC) est en France la troisième cause de mortalité. Une récente étude publiée dans le « Bulletin épidémiologique hebdomadaire » du 6 mars analysait l’évolution des taux de patients hospitalisés et de leur prise en charge, après la mise en place du plan AVC 2010-2014. Force est de constater que les améliorations sont notables dans la qualité de la prise en charge et des traitements. Il reste toutefois à déplorer un délai toujours aussi important entre l’apparition des symptômes et l’arrivée à l’hôpital.

  • p. 3

    Actualité  Bon pour la ligne

    On répète à l’envi aux personnes en surpoids qu’il faut manger moins vite. À raison ? Des chercheurs japonais ont vérifié la véracité de ce conseil. Ils ont suivi près de 60 000 personnes diabétiques pendant 6 ans, étudiant la vitesse à laquelle les participants mangeaient ainsi que leur poids. Et, en effet, ceux qui prenaient davantage de temps pour manger ont eu tendance à perdre du poids. À noter : ne pas manger après le repas du soir ni dans les deux heures précédant le sommeil est aussi efficace.

  • p. 3

    Actualité  Collaboration médecins-patients fructueuse

    Selon une étude britannique menée sur près de 1 200 patients dont la tension était mal contrôlée, l’automesure tensionnelle avec ou sans télétransmission des résultats au médecin est bénéfique. Elle a permis, au terme d’un suivi de 12 mois, un meilleur contrôle et un meilleur ajustement du traitement antihypertenseur que la prise de la tension en cabinet médical lors d’une consultation. Il faut donc favoriser son usage chez tous les patients hypertendus.

  • p. 8

    Histoire de Santé  "J'ai résolu mes problèmes urinaires grâce à la phytothérapie"

    Hugo, la cinquantaine, se lève plusieurs fois par nuit pour uriner, il n’en dort plus. Il souffre d’une hyperplasie bénigne de la prostate (HBP). La gêne est telle que deux urologues consultés jugent l’intervention chirurgicale nécessaire. Mais Hugo se laisse tenter par le conseil d’un patient rencontré dans la salle d’attente : la phytothérapie. Après plusieurs mois de suivi respectueux du protocole thérapeutique établi par le phytothérapeute, son sommeil est de retour… « Que Choisir Santé » revient en détails sur les problèmes rencontrés quand la prostate prend du volume et sur les bénéfices escomptés des plantes pour soulager les symptômes de l’HBP.

  • p. 10

    Décryptage  Que penser de la mélatonine en cas d'insomnie ?

    La mélatonine est une hormone naturelle produite par une glande au niveau du cerveau. Elle prépare l’organisme au sommeil et contribue à la synchronisation de notre horloge biologique. Avec l’âge, la sécrétion nocturne de mélatonine diminue. Aussi, pour vaincre l’insomnie, nombreux sont ceux qui ont recours à des compléments alimentaires en vente libre ou à des médicaments contenant de la mélatonine. Sont-ils efficaces ? Sans danger ? « Que Choisir Santé » commente la récente prise de position de la Société française de recherche et médecine du sommeil (SFRMS) en faveur de l’usage de la mélatonine médicamenteuse, mais déconseillant les compléments alimentaires qui en contiennent.

  • p. 11

    Mieux se connaître  J'ai le visage qui gonfle

    Si votre visage se met à gonfler sans raison apparente, qu’est-ce que cela cache ? Cette affection appelée angiœdème, anciennement nommée œdème de Quincke, revêt des causes multiples. Ce « Mieux se connaître pour se soigner » en détaille les principales et indique la conduite à tenir selon que le gonflement ou la déformation s’accompagne de plaques rouges ou de démangeaisons. Le cas particulier de l’intolérance médicamenteuse est également expliqué.

  • p. 13

    Médicament  Ils exposent à des démangeaisons

    Des démangeaisons – ou prurit pour les professionnels – avec ou sans lésions cutanées peuvent apparaître suite à la prise de certains médicaments. La personne âgée, souvent polymédicamentée, s’expose plus fréquemment à ce risque. « Que Choisir Santé » passe en revue les principales classes de médicaments (dont les antihypertenseurs, les antiarythmiques, etc.) responsables de démangeaisons.

  • p. 16

    Gros plan  Les signes qui doivent vous alerter

    Attention, tout changement suspect sur la peau, une tache qui apparaît, un grain de beauté qui grossit, etc., doit vous alerter : ce peut être le signe d’un mélanome c’est-à-dire d’un cancer de la peau. Dans ce « gros plan sur… », « Que Choisir Santé » vous aide à repérer, grâce à la méthode ABCDE ainsi qu’à d’autres critères, ces signaux d’alerte à ne surtout pas négliger.

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