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Couverture Que Choisir Budgets - 133

Que Choisir Argent N°133 janvier 2014

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Sommaire
  • p.4

    le nouveau visage des complémentaires santé

    La loi du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l’emploi prévoit qu’au 1er janvier 2016, tous les salariés devront bénéficier d’une complémentaire santé collective dans le cadre de leur activité professionnelle. Des dispositions qui vont concerner essentiellement les moyennes et petites entreprises puisque les salariés des grandes entreprises bénéficient en général d'une complémentaire santé. Tout l’enjeu pour les entreprises consiste désormais à choisir parmi les différents acteurs du marché (assureur, institut de prévoyance, mutuelle) pour offrir une protection santé complémentaire répondant autant que possible aux besoins des assurés, moyennant leur responsabilisation comme l'obligation de respecter le parcours de soin coordonné ou d'accepter des médicaments génériques. Les négociations ont débuté dans chaque branche d’activité depuis le 1er juin 2013. Pour les personnes qui ne bénéficient pas d'un contrat collectif (car non insérées dans le monde du travail, en rupture professionnelle, ou encore pour certains retraités), Que choisir présente les deux dispositifs mis en place pour elles : la CMUc (couverture maladie universelle complémentaire) et l'aide à l'acquisition d'une complémentaire santé. Enfin, Que choisir a comparé 42 contrats (de l'entrée au haut de gamme) pour une famille composée de 4 personnes, et 42 contrats pour un couple de retraités, dans les deux cas salariés du privé.

  • p.28

    Les placements solidaires épargnés par la crise

    Pour mieux comprendre le domaine en pleine croissance de la finance solidaire, laquelle permet de soutenir l’économie sociale et le développement durable, Que Choisir Argent a enquêté sur les conditions d’attributions du label Finansol avec notamment l’interview de sa directrice, la ventilation de l’épargne s’effectuant de deux manières : en dons à des associations et ONG ou en soutenant des projets d’insertion ou des activités écologiques. Toute la gamme des placements possibles est présentée : livrets réglementés, assurance vie, Sicav et Fonds communs de placements, l’épargne salariale et les actions non cotées. 10 produits (4 livrets, 5 Sicav et une assurance vie) ont été évalués suivant leurs versements minimaux, les frais, la durée conseillée et le rendement brut. Enfin, l’article détaille les possibilités d’ avantages fiscaux ces produits de partage.

  • p.34

    Une bonne affaire ?

    Lancé par le gouvernement, le PEA/PME est un plan d'épargne en actions destiné à orienter l'épargne des Français vers le financement des petites et moyennes entreprises (PME) ainsi que les entreprises de taille intermédiaire (ETI). Dès janvier, les particuliers pourront investir directement ou indirectement dans des sociétés cotées ou non cotées et, les fonds communs de placement de l'innovation (FCPI), de proximité (FIP) ou à risque (FCPR) qui permettaient déjà d'investir dans les PME seront éligibles au PEA/PME. Que Choisir Argent présente ce nouveau dispositif : plafond, fonctionnement, nature des titres et des fonds éligibles, avantages fiscaux, risques et intérêts. Puis, complète cette présentation par une sélection de 6 fonds éligibles et de 6 FCPI/FIP ainsi que par un focus sur l'importance de bien choisir sa société de gestion.

  • p.40

    Un terrain semé d'embûches

    La rédaction de la clause bénéficiaire dans un contrat d’assurance-vie requiert la plus grande attention sous peine de litiges entre les différents acteurs. Depuis la loi de 2007 applicable aux contrats souscrits à compter du 18 décembre 2007, l’acceptation du bénéficiaire doit faire l’objet d’un avenant au contrat, signés par le souscripteur, le bénéficiaire et l’assureur. Mais attention cette acceptation induit une privation de droit du souscripteur qui ne peut plus alors disposer librement de son argent, ni changer de nom de bénéficiaire. De plus, si aucun bénéficiaire ni héritier n’a été retrouvé, l’Etat récupère les sommes non réclamées trente ans après le décès de l’assuré, ce qui expliquerait le peu de diligence des banques à les retrouver. Et puis lorsque l’on est l’heureux bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie, le capital acquis n’est pas soumis au droit de succession.

  • p.46

    Se soigner autrement

    Alors que l’Allemagne, la Grande-Bretagne ou la Norvège ont créé depuis longtemps un statut pour les médecines alternatives et alors que les sondages révèlent que 40 % de français chaque année y ont recours en prévention, en traitement de la douleur ou en accompagnement de certaines pathologies lourdes (cancer, Parkinson, Alzheimer…), la France devrait se pencher sur la question pour éviter aux patients des dérives sectaires, tarifaires mais aussi des risques sanitaires. L’Académie de médecine et le Conseil national de l’ordre des médecins veulent ainsi encadrer ce que beaucoup de médecins et scientifiques estiment comme des techniques à seul effet placebo. Il demeure qu’elles répondent à un besoin exprimé et qu’une information claire est attendue par le corps médical -lequel utilise parfois lui-même certaines techniques, mais aussi par les patients afin de faire le tri parmi 400 techniques, certaines commençant à être remboursées par des complémentaires santé. L’article propose des encarts pour mieux comprendre l’hypnose et l’acupuncture ainsi que l’interview de la chargée de mission sur la question du commissariat général à la stratégie et à la prospective….

  • p.52

    Sauvez votre e-réputation

    Avec le développement de l'Internet et des réseaux sociaux, des données concernant notre identité, notre image, notre vie peuvent circuler sur la toile parfois à notre insu. Or, ce contenu numérique peut mettre à mal notre réputation numérique (e-réputation), et avoir des conséquences malheureuses sur notre vie personnelle et/ou professionnelle. Que Choisir Argent nous rappelle nos droits en cas d'atteinte à la vie privée sur le Net, explique comment connaître notre image numérique et comment assurer notre e-réputation, en analysant en détails 3 contrats. Enfin, comment la faire surveiller par des sociétés spécialisées.

Voir le sommaire complet

Les plus du magazine

  • Une information fiable et indépendante consacrée à votre budget
  • Des astuces pour gérer votre argent
  • Des enquêtes objectives et claires sur un produit, un service lié à l’argent (épargne, assurances, crédits, tarifs bancaires)

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    le nouveau visage des complémentaires santé

    La loi du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l’emploi prévoit qu’au 1er janvier 2016, tous les salariés devront bénéficier d’une complémentaire santé collective dans le cadre de leur activité professionnelle. Des dispositions qui vont concerner essentiellement les moyennes et petites entreprises puisque les salariés des grandes entreprises bénéficient en général d'une complémentaire santé. Tout l’enjeu pour les entreprises consiste désormais à choisir parmi les différents acteurs du marché (assureur, institut de prévoyance, mutuelle) pour offrir une protection santé complémentaire répondant autant que possible aux besoins des assurés, moyennant leur responsabilisation comme l'obligation de respecter le parcours de soin coordonné ou d'accepter des médicaments génériques. Les négociations ont débuté dans chaque branche d’activité depuis le 1er juin 2013. Pour les personnes qui ne bénéficient pas d'un contrat collectif (car non insérées dans le monde du travail, en rupture professionnelle, ou encore pour certains retraités), Que choisir présente les deux dispositifs mis en place pour elles : la CMUc (couverture maladie universelle complémentaire) et l'aide à l'acquisition d'une complémentaire santé. Enfin, Que choisir a comparé 42 contrats (de l'entrée au haut de gamme) pour une famille composée de 4 personnes, et 42 contrats pour un couple de retraités, dans les deux cas salariés du privé.

  • p.28

    Les placements solidaires épargnés par la crise

    Pour mieux comprendre le domaine en pleine croissance de la finance solidaire, laquelle permet de soutenir l’économie sociale et le développement durable, Que Choisir Argent a enquêté sur les conditions d’attributions du label Finansol avec notamment l’interview de sa directrice, la ventilation de l’épargne s’effectuant de deux manières : en dons à des associations et ONG ou en soutenant des projets d’insertion ou des activités écologiques. Toute la gamme des placements possibles est présentée : livrets réglementés, assurance vie, Sicav et Fonds communs de placements, l’épargne salariale et les actions non cotées. 10 produits (4 livrets, 5 Sicav et une assurance vie) ont été évalués suivant leurs versements minimaux, les frais, la durée conseillée et le rendement brut. Enfin, l’article détaille les possibilités d’ avantages fiscaux ces produits de partage.

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    Lancé par le gouvernement, le PEA/PME est un plan d'épargne en actions destiné à orienter l'épargne des Français vers le financement des petites et moyennes entreprises (PME) ainsi que les entreprises de taille intermédiaire (ETI). Dès janvier, les particuliers pourront investir directement ou indirectement dans des sociétés cotées ou non cotées et, les fonds communs de placement de l'innovation (FCPI), de proximité (FIP) ou à risque (FCPR) qui permettaient déjà d'investir dans les PME seront éligibles au PEA/PME. Que Choisir Argent présente ce nouveau dispositif : plafond, fonctionnement, nature des titres et des fonds éligibles, avantages fiscaux, risques et intérêts. Puis, complète cette présentation par une sélection de 6 fonds éligibles et de 6 FCPI/FIP ainsi que par un focus sur l'importance de bien choisir sa société de gestion.

  • p.40

    Un terrain semé d'embûches

    La rédaction de la clause bénéficiaire dans un contrat d’assurance-vie requiert la plus grande attention sous peine de litiges entre les différents acteurs. Depuis la loi de 2007 applicable aux contrats souscrits à compter du 18 décembre 2007, l’acceptation du bénéficiaire doit faire l’objet d’un avenant au contrat, signés par le souscripteur, le bénéficiaire et l’assureur. Mais attention cette acceptation induit une privation de droit du souscripteur qui ne peut plus alors disposer librement de son argent, ni changer de nom de bénéficiaire. De plus, si aucun bénéficiaire ni héritier n’a été retrouvé, l’Etat récupère les sommes non réclamées trente ans après le décès de l’assuré, ce qui expliquerait le peu de diligence des banques à les retrouver. Et puis lorsque l’on est l’heureux bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie, le capital acquis n’est pas soumis au droit de succession.

  • p.46

    Se soigner autrement

    Alors que l’Allemagne, la Grande-Bretagne ou la Norvège ont créé depuis longtemps un statut pour les médecines alternatives et alors que les sondages révèlent que 40 % de français chaque année y ont recours en prévention, en traitement de la douleur ou en accompagnement de certaines pathologies lourdes (cancer, Parkinson, Alzheimer…), la France devrait se pencher sur la question pour éviter aux patients des dérives sectaires, tarifaires mais aussi des risques sanitaires. L’Académie de médecine et le Conseil national de l’ordre des médecins veulent ainsi encadrer ce que beaucoup de médecins et scientifiques estiment comme des techniques à seul effet placebo. Il demeure qu’elles répondent à un besoin exprimé et qu’une information claire est attendue par le corps médical -lequel utilise parfois lui-même certaines techniques, mais aussi par les patients afin de faire le tri parmi 400 techniques, certaines commençant à être remboursées par des complémentaires santé. L’article propose des encarts pour mieux comprendre l’hypnose et l’acupuncture ainsi que l’interview de la chargée de mission sur la question du commissariat général à la stratégie et à la prospective….

  • p.52

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    Avec le développement de l'Internet et des réseaux sociaux, des données concernant notre identité, notre image, notre vie peuvent circuler sur la toile parfois à notre insu. Or, ce contenu numérique peut mettre à mal notre réputation numérique (e-réputation), et avoir des conséquences malheureuses sur notre vie personnelle et/ou professionnelle. Que Choisir Argent nous rappelle nos droits en cas d'atteinte à la vie privée sur le Net, explique comment connaître notre image numérique et comment assurer notre e-réputation, en analysant en détails 3 contrats. Enfin, comment la faire surveiller par des sociétés spécialisées.

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