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Bien de chez nous…
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Exit les promos bidon ?
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Agir localement pour l'environnement
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Concours photo : remise de prix à Nancy
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Travaux : Covéa est bouché
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SFR : À chaque résiliation, sa facture abusive !
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La recette pour les cacher
La liste des ingrédients est une source précieuse d’informations sur la composition d’un produit alimentaire. Hélas, elle ne nous dit pas tout… Des substances cachées, tels les auxiliaires technologiques, les additifs de transfert, les colorants dans l’alimentation animale, etc. peuvent, en effet, être utilisées sans apparaître sur l’étiquette. Que Choisir explique comment les industriels profitent de certaines subtilités réglementaires et usent de substances (solvants, catalyseurs, etc.) sans les citer, parfois même frauduleusement. Les produits bruts ou naturels n’en sont pas exempts. Les denrées d’origine animale (crevettes, œufs, etc.) peuvent ainsi contenir des colorants, le jus d’ananas des antimoussants, les céréales et les cakes aux fruits des conservateurs. Attention aussi aux a priori positifs : les fibres de pois, de carottes ou le jus de betterave concentré ne sont pas aussi inoffensifs qu’ils le paraissent… Tous ces additifs non étiquetés dans un si grand nombre de produits inquiètent compte tenu des risques qu’ils font peser sur la santé humaine
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p.22
Quand la toucher vire au parcours du combattant
Cet article retrace le parcours complexe et semé d’embûches d’un particulier qui, après avoir fait réaliser des travaux de rénovation énergétique dans sa maison, n’arrive pas à obtenir le versement de Ma Prime Rénov’ par l’Agence nationale d’amélioration de l’habitat. Depuis la création, en 2020, de ce dispositif d’aide financière accordé en amont des travaux, de nombreuses plaintes font état de difficultés au moment du versement. Selon le ministère du Logement, la situation semble s’améliorer.
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Le naufrage de l'étiquette
À l’instar de l’huile alimentaire, le poisson fait partie des denrées pour lesquelles les fraudes et les erreurs d’étiquetage sont légion. Si la fraude à l’espèce est plutôt rare, l’ajout d’eau (trempage), bien que légal, n’est pas toujours indiqué sur l’étiquette. L’emploi d’additifs autorisés favorisant la rétention d’eau n’est soit pas mentionné, soit interdits pour certains. L’indication « décongelé » est cruellement absente lorsque les poissons ont été congelés. Des anomalies qui ne sont pas systématiquement détectables lors des analyses. Que Choisir a acheté 68 produits frais ou congelés parmi 6 espèces de poisson pour les analyser et vérifier la conformité de l’étiquetage. Des informations erronées sont à déplorer, mais la filière s’emploie à anticiper et à mieux identifier ces défauts, à l’image de l’étude Fraud’Filets lancée en 2013.
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Le coût des lunettes a-t-il augmenté ?
La réforme du 100 % santé en optique n’atteint pas les objectifs fixés par le gouvernement, deux ans après son entrée en vigueur. Seuls 12 % des montures et 14 % des verres achetés sont issus du panier 100 % santé, contre les 20 % visés. De nombreux freins, dont l’opposition de bon nombre d’opticiens, expliquent ces résultats insuffisants. Force est de constater que les taux de remboursement par la Sécurité sociale et les complémentaires ont nettement diminué. La réforme dont l’objectif premier était la lutte contre le renoncement aux soins a donc accru, à l’opposé, le reste à charge en optique !
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Des victimes marquent des points
Cet article revient sur les affaires Natixis, cette banque d’affaires qui a menti en 2007 à des centaines de milliers de petits porteurs de la Banque populaire et de la Caisse d’épargne sur sa solidité financière, avant que la crise des subprimes lui fasse « tomber le masque ». Des actions en justice ont été lancées, dont une action de groupe par l’UFC-Que Choisir. Des condamnations ont été confirmées depuis avec des indemnisations pour 750 épargnants. Certes, les sommes sont inférieures aux demandes des parties civiles et les dirigeants n’ont pas été inquiétés, mais quelques magistrats financiers en faveur de la défense des victimes de tromperies financières ont fait preuve de ténacité. En effet, en parallèle, des juges civils se retranchent derrière le devoir de moyens et non de résultats des établissements bancaires, et annulent certaines condamnations. L’article explique comment, cet été 2021, quand le groupe BPCE (issu de la fusion de la Banque Populaire et de la Caisse d’Épargne) a annoncé le retrait de Natixis de la cote et le rachat à 4 € de toutes les actions, ce sont surtout des petits actionnaires qui ont perdu 80 % de leur achat de 2006…
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"Pompiers, j'écoute..."
Les statistiques de la direction générale de la Sécurité civile indiquent une légère baisse du nombre d’interventions des pompiers en 2020, pour des raisons évidentes liées à la pandémie du Covid-19. En revanche, les délais d’intervention restent stables par rapport aux années précédentes : 14 minutes en moyenne entre la prise en charge de l’appel et l’arrivée des pompiers sur place. On observe toutefois des disparités d’un département à l’autre. Que Choisir indique ceux où les délais sont les plus longs et ceux où ils sont les plus rapides, toutes interventions confondues.
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Le 100% santé assure
La réforme du 100 % santé en audiologie est un succès : le taux d’équipement en audioprothèses a bondi de 85 % par rapport à 2019 sur le seul premier semestre 2021 et la part du 100 % santé a atteint 40 % des achats. Deux ans après les contours d’oreille, Que Choisir a testé l’intelligibilité et la qualité d’écoute des microcontours, les aides les plus vendues en France. 14 microcontours dont 7 de classe 1 totalement remboursés (100 % santé) et 7 autres de classe 2 (prix libre) ont été évalués dans 4 situations : au calme dans la cuisine, en voiture moteur tournant, au restaurant dans le bruit, et enfin, en milieu insonorisé. L’objectif était de savoir dans quelle mesure les appareils « sans reste à charge » (classe 1) apportent une qualité d’écoute et des performances satisfaisantes comparativement à ceux de la classe 2. Et globalement, ils donnent satisfaction ! L’article souligne toutefois la nécessité d’affiner les réglages par plusieurs rendez-vous chez l’audioprothésiste, et l’intérêt des options pour un « usage plus agréable ».
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Veillez au grain !
Que Choisir a testé 11 cafetières avec broyeur de grains, des machines dont les ventes ne cessent de croître, idéales pour les vrais amateurs de café. Le grand écart des prix – de 300 à 1 549 € – s’explique par la différence d’équipement (écran tactile, connectivité, qualité de fabrication). Leurs performances sont excellentes : elles servent des cafés de qualité à bonne température. Selon les modèles, il est possible de goûter des cappuccinos délicieusement onctueux, tous évalués par un jury de dégustation. Le choix du café est fondamental ; les petits torréfacteurs en proposent de très bons, mais à des prix supérieurs à ceux des marques vendues en grande distribution.
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Internet au bout du câble
Si vous avez des problèmes récurrents de connexion Wi-Fi chez vous, une des solutions possibles est d’installer un CPL (courant porteur en ligne) qui crée un réseau domestique en passant par le réseau électrique. Certains kits sont compatibles Wi-Fi. Que Choisir a évalué la performance, la consommation électrique, la facilité d’emploi ainsi que la connectique de 10 kits CPL dont 6 CPL Wi-Fi. Trois modèles sont mis en avant, les deux mieux notés et le meilleur rapport qualité/prix.
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Le signal dupliqué
Si votre connexion Wi-Fi n’est pas efficace, opter pour un répéteur Wi-Fi peut être la solution. Celui-ci se branche sur une prise électrique et duplique la couverture Wi-Fi de votre box ; un nouveau réseau apparaît alors, avec au choix 2,4 et 5 GHz de bande passante. Mais les murs épais bloquent ces signaux : dans ce cas, il faut choisir un système « mesh », qui crée un seul réseau stable… mais pour un prix plus élevé. Que Choisir a testé 10 répéteurs dont 7 Wi-Fi et 3 systèmes « mesh » suivant leur performance, leur facilité d’emploi, leur consommation électrique et leur connectique. Deux appareils se sont distingués comme « le mieux noté » et « le meilleur rapport qualité/prix ».
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Conquis ? Branchez-la !
Si les voitures hybrides rechargeables connaissent un bel engouement, une étude de l’Observatoire de la consommation de l’UFC-Que Choisir réalisée en novembre 2021 a démonté que 15 % des propriétaires ne les rechargeaient pas et ne s’en servaient pas aussi bien qu’ils le pourraient. Que Choisir pointe un défaut d’information des vendeurs automobiles et réexplique l’intérêt écologique et économique d’avoir une batterie pleine. Pour le démontrer, la consommation en carburant de 3 modèles a été évaluée, en opposant l’hybride rechargeable à sa référence thermique essence, avec batterie pleine ou vide, lors de ces situations : les 100 premiers kilomètres en ville, sur route et sur autoroute. De la même manière, la consommation d’une hybride rechargeable a été comparée à une version « full hybrid ». Les résultats sont clairs. Par ailleurs, si une mauvaise utilisation augmente la consommation de carburant et donc d’émissions de CO2, ces taux d’émissions vantés par les constructeurs sont loin d’être exacts, comme les mesures opérées par Que Choisir le prouvent : on va parfois du simple au triple !
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Notre classement des réseaux mobiles
Voici les premiers résultats de la qualité des réseaux de téléphonie mobile réalisés grâce à l’application Queldébit depuis juin 2021. Celle-ci a permis des milliers de tests pour mieux connaître le débit, la latence, la vitesse d’affichage des pages web, la qualité des vidéos en streaming. Au final : de réelles différences existent entre les réseaux, en zone urbaine et rurale comme en réception et en émission de données, entraînant l’augmentation de la fracture numérique entre territoires. Quant à la 5G, elle apporte bien de meilleures performances, mais encore faut-il être dans une zone couverte – encore peu développée – sans compter que les équipements et forfaits se payent plus cher. Pour poursuivre ses analyses et opposer des arguments aux opérateurs, Queldébit a besoin de la participation du plus grand nombre !
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L’avenir de nos voitures ?
Comment 38 millions d’automobilistes pourront-ils avoir rapidement, suivant les délais imposés par la loi et l’urgence climatique, des véhicules plus vertueux ? Le « rétrofit » électrique, autorisé depuis mars 2020, pourrait être une alternative probante en matière de réduction d’émissions de CO2. Que Choisir explique comment ce procédé permet de transformer certaines voitures thermiques en électriques via un kit (moteur électrique, batterie et Battery Management System ou BMS) installé par un professionnel. Cependant, dans la réalité, des obstacles techniques demeurent : l’autonomie est à améliorer, l’homologation de ces véhicules est soumise au respect d’un cahier des charges précis et surtout, le prix d’une telle conversion s’élèverait aux alentours de 15 000 €…
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À l’épreuve du chrono
Les sites web fixent leurs conditions générales de vente, obligatoirement validées par le consommateur qui souhaite acheter un produit, obtenir une prestation de service ou des informations issues des organismes publics. Les juristes de Que Choisir ont pris la peine de lire une centaine de CGV tous domaines confondus (e-commerce, transport, loisirs…) selon une trame précise : temps de lecture, nombre de mots, présence de clauses abusives, fondements juridiques à jour. La première place, peu enviée, est décernée au site de la SNCF pour lequel 6 h 52 de temps de lecture ont été nécessaire pour lire 256 pages. Que Choisir publiera ultérieurement un bilan sur l’analyse des contenus.
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« Le » dico, ça n’existe pas !
Quels sont les critères qui favorisent l’introduction des mots nouveaux dans les dictionnaires ? La question s’est posée notamment après l’apparition récente du pronom personnel « iel, iels » dans la version gratuite du Robert en ligne. Pour les plus célèbres, le Petit Larousse et le Petit Robert, les lexicographes repèrent des mots employés plus ou moins fréquemment dans différents supports, puis ils en sélectionnent près de 150 parmi plusieurs centaines – un tri drastique. Chacun possède néanmoins sa propre ligne éditoriale, comme le montre ce petit récit.
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Le forfait patient ausculté
Le nouveau forfait patient urgences (FPU) est entré en vigueur le 1er janvier. Il s’établit à 19,61 € (forfait plein fixe) pour chaque passage aux urgences non suivi d’une hospitalisation et à 8,49 € sous conditions (forfait minoré), à la charge du patient ou de sa complémentaire santé. Sur le papier, le FPU, qui remplace l’ex-ticket modérateur acquitté par l’usager, a pour objectif de simplifier la tarification des soins et de lutter contre la saturation des urgences. Mais de nombreuses voix l’accusent de pénaliser les plus précaires et d’accroître, à terme, le renoncement aux soins. Qu’en est-il ? L’article décrypte ce nouveau dispositif.
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Faites le tri
Pur jus ou à base de moût concentré, avec ou sans ajout d’eau, fermentation naturelle ou gazéification : autant de procédés de fabrication du cidre qui ne correspondent plus à la réglementation datée de 1953 régissant encore cette dénomination. Avec ce guide d’achat, Que Choisir passe en revue toutes les catégories de cidre que l’on peut acheter, quel que soit le circuit de distribution : doux, brut ou demi-sec, voire aromatisé, mais aussi artisanal, fermier ou traditionnel. Une définition est donnée pour chacune, certaines non officielles intégreront le futur décret « cidre » en cours de révision.
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Les biotechs et l'industrie pharmaceutique
À l’instar de BioNTech ou de Moderna, connus pour leur découverte des vaccins contre le Covid-19, une grande part de la recherche pharmaceutique repose aujourd’hui sur les biotechs, ces start-up travaillant sur les technologies liées au vivant. Les géants pharmaceutiques ne l’ignorent pas : ils multiplient les acquisitions et les partenariats. Cette fiche pratique décrit le rôle clé joué par les biotechs dans la stratégie d’innovation pharmaceutique actuelle.
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Élaguer soi-même ou non
Que Choisir fait une synthèse en expliquant quelles sont les règles légales de l’élagage dans le cas où l’arbre de votre voisin déborde sur votre propriété. Des solutions à l’amiable existent avant d’aller en justice. Explications.
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p.65
Floues, les annonces de la SNCF !
« Problème technique », « difficulté de préparation du train », « incident d’exploitation », « incident voyageur »… À la suite du site Lefigaro.fr, Que Choisir vous offre un florilège des expressions nébuleuses utilisées par la SNCF pour annoncer un problème sur ses services… de quoi perdre l’usager dans un dédale de rails !
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Certains restos poussent loin le bouchon