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Couverture Que Choisir Mensuel - 547

Que Choisir Mensuel N°547 mai 2016

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Sommaire
  • p.4

    Le coût caché des pesticides

  • p.13

    Pour une saine démocratie

  • p.16

    Les modes d'élevage qui résistent

    Surproduction, chute des cours, l’agriculture conventionnelle standardisée va mal. Les éleveurs sont à la peine. Mais il existe d’autres voies pour valoriser sa production dans le respect de l’environnement. L’article met en lumière des modes d’élevage (élevages biologiques, filières labellisées, etc.) qui mettent l’accent sur la qualité et non le volume afin de permettre de dégager des revenus suffisants pour résister à la crise agricole et faire vivre les exploitants. Les consommateurs peuvent eux aussi agir en favorisant ces élevages « vertueux ». « Que Choisir » les guide pour bien décrypter les étiquettes afin de faire les bons choix en matière d’œufs, de poulet, de viandes de porc et de bœuf ainsi que de labels.

  • p.20

    Des désirs calculés

    « Que Choisir » enquête dans le monde des algorithmes dont se servent les cybermarchands pour suggérer des achats ciblés. Netflix, la plateforme de vidéo à la demande par abonnement, compulse ainsi, avec son algorithme « Cinematch », des données personnelles collectées en fonction des recherches des internautes, afin de leur proposer des recommandations prédictives d’autres vidéos susceptibles de leur plaire. Google, Facebook, Amazon ciblent également leurs publicités, mais l’article pointe du doigt la protection des données personnelles et l’uniformisation des goûts, chacun étant orienté vers les mêmes produits et services. Un encart donne des conseils pour préserver le plus possible ses informations personnelles sur le Web (cookies, mot de passe…) et un autre éclaire la notion de « big data », ces trésors d’informations qui intéressent tant les entreprises…

  • p.22

    La règle des trois

    Lors de l’achat d’un produit ou d’un service, le vendeur est tenu d’informer le consommateur qu’il bénéficie de deux garanties légales gratuites : la garantie légale de conformité et la garantie des vices cachés. Pour la première, si l’appareil présente un quelconque défaut existant au moment de son acquisition, l’acheteur est en droit d’exiger la réparation, le remplacement voire le remboursement (partiel ou total) sans apporter la preuve de la défaillance, tout au moins pendant deux ans. Pour les biens à monter soi-même et ceux d’occasion, le délai est de six mois. Pour les vices cachés, le délai est de deux ans à partir de la découverte du défaut, mais c’est à l’acheteur de prouver au vendeur ou au fabricant le défaut non visible lors de l’achat. Quant à la garantie commerciale et aux extensions proposées avec insistance par les vendeurs, elles risquent de faire double emploi avec la garantie légale et sont coûteuses. Seul intérêt éventuel, une période de garantie au-delà des deux ans.

  • p.24

    Encore trop d'abus !

    Les abus tarifaires en matière de services bancaires subsistent malgré la publication de plusieurs réglementations ces deux dernières années. L’enquête de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) menée en 2015 aboutit aux mêmes conclusions. Le plafonnement des commissions d’intervention en cas de dépassement d’un découvert autorisé, l’interdiction de certains frais de tenue d’un compte inactif, le plafonnement des frais pour incident de paiement font partie des mesures récentes qui auraient dû alléger la facture des clients. Pourtant, début 2016, on observe déjà une hausse de 4,7 % des tarifs bancaires. Les nombreux témoignages qui nous sont parvenus vont dans ce sens. « Que Choisir » invite chacun à traquer les frais prélevés sur ses relevés bancaires dont certains, s’ils ne sont pas illégaux, sont pour le moins abusifs : généralisation des frais de tenue de compte variables selon les banques, virements SEPA, retraits payants au distributeur de billets d’un autre réseau, paiement sans contact.

  • p.28

    Robots de cuisine

    « Que Choisir » a évalué 27 robots de cuisine dont 17 multifonctions et 10 pâtissiers, de marques telles que Moulinex, Philips, Kenwood, Seb, Braun ou Bosch. Les critères ont porté sur les tâches et recettes qu’ils se targuent de réaliser parfaitement (blancs en neige, crème fouettée, pâte à crêpes, pâte à gâteau, purée pour bébé, etc.), la performance à broyer et râper divers aliments, l’endurance et l’utilisation (facilité, niveau sonore, nettoyage…). Un produit s’est distingué comme « bon choix » parmi les multifonctions, un également parmi les pâtissiers. Un robot pâtissier a été mis en avant en tant que « meilleur choix ». L’article rappelle les références encore en vente des six « meilleurs choix » issus du test de mai 2015.

  • p.30

    Des nouvelles gammes

    L’interdiction, depuis le 1er septembre 2014, de la vente des aspirateurs de plus de 1 600 W et celle à venir de ceux de plus de 900 W a entraîné un renouvellement de gamme. « Que Choisir » a testé 23 modèles à moins de 150 € de marques telles que Moulinex, Bosch, Tornado, Hoover, Philips, Rowenta ou Proline, selon des critères de performance d’aspiration sur différents sols (sols durs, parquets, tapis et moquettes), suivant la largeur d’aspiration effective par rapport à la largeur de la brosse, la capacité à aspirer au-delà de l’extrémité de la brosse, la filtration (la quantité de rejet de poussière dans l’air), l’endurance, la consommation électrique, le niveau sonore, la facilité d’utilisation…Un « bon choix » est mis en avant, ainsi que deux « meilleur rapport qualité/prix », les marques de distributeur affichant des résultats décevants. Vingt-cinq aspirateurs traîneaux à plus de 150 € ont également été évalués, six produits se distinguant comme « meilleur choix » dont deux modèles presque identiques d’une marque et quatre modèles presque identiques d’une autre marque. Quatre produits sont qualifiés de « bon choix » et un encart démontre combien les qualités avancées par le nouvel aspirateur traîneau sans fil CordZero proposé par LG sont à relativiser….

  • p.34

    Pour les petits nettoyages

    Maniable, plutôt léger, « 2-en-1 » pour certains afin de désolidariser le manche et de le transformer en aspirateur à main, rechargeable, l’aspirateur balai sans fil est de plus en plus convoité. Mais il ne peut être utilisé que pour le ménage d’appoint, comme le démontre le test de dix modèles de marque Dyson, Electrolux, Rowenta, Vas, Philips, LG, De’ Longhi ou Black & Decker. Les critères d’évaluation sont les performances d’aspiration sur sols durs et sur tapis et moquettes, l’autonomie, la filtration (la quantité de rejet de poussière dans l’air), le niveau sonore et la facilité d’utilisation. Un produit s’est distingué en tant que « meilleur choix ».

  • p.35

    Tondeuses à gazon

    Avec l’arrivée du printemps, le bruit des tondeuses à gazon devrait retentir dans les jardins. « Que Choisir » a réalisé un test de 23 tondeuses à gazon, dont 13 électriques, 5 thermiques (à essence) et 5 sans fil (à batterie), pour des prix allant de 99 à 699 €. Les performances et la qualité de la tonte ont été évaluées sur des pelouses de qualités différentes, voire sur des terrains avec dénivelés. D’autres critères comme la capacité du bac, le niveau sonore, la maniabilité, la solidité et surtout la sécurité sont loin d’être négligeables dans l’appréciation globale. Certains modèles sont dotés d’une fonction « mulching », qui consiste à utiliser l’herbe broyée comme engrais naturel. Le choix du modèle thermique, plus cher à l’achat et à la consommation, ou électrique, plus économique, se fera en fonction de la taille du terrain.

  • p.38

    Matelas

    Après les matelas d’entrée de gamme, le haut de gamme à mémoire de forme et le milieu de gamme (en 2015), « Que Choisir » a testé cette année 11 matelas en mousse et à ressorts vendus entre 400 et 800 €, de marque Simmons, Épéda, Mérinos, La Compagnie du lit, Duvivier, Dunlopillo, Ikea, Bultex ou Bruno. Les critères ont été la performance à l’état neuf et après vieillissement de 8 à 10 ans, pour homme et pour femme, suivant la position de couchage. Maintien et fermeté ainsi qu’effet à mémoire de forme ont été prépondérants dans les notes et si un produit a été élu « meilleur choix », un autre a été estampillé « ne pas acheter », car il a pris feu trop facilement. L’article rappelle que 12 matelas (7 testés en 2015 et 5 à mémoire de forme testés en 2014) sont toujours en vente, deux d’entre eux étant mis en avant en tant que « meilleur choix ». « Que Choisir » propose des conseils d’achat pour choisir comment passer de bonnes nuits en sachant relativiser les arguments marketing des vendeurs concernant la fermeté, les faces hiver/été et la durée de garantie

  • p.42

    L'avenir du PC

    La tablette hybride, aussi appelée tablette « pro », « 2-en-1 » ou « détachable », s’apprête à supplanter l’ordinateur. L’écran est plus grand que celui de la tablette classique, la capacité de stockage est en revanche inférieure à celle des ordinateurs portables, voire à celle annoncée par les fabricants. Windows reste le système d’exploitation le plus utilisé, néanmoins Android et iOS sont présents sur quelques modèles. « Que Choisir » a testé 10 tablettes hybrides en majorité proposées par les constructeurs informatiques, les fabricants de téléphones portables quant à eux devraient être présents prochainement sur ce créneau. Pour les évaluer, ces appareils ont été passés au crible : connectique disponible, performances du système, écran évalué par un jury, facilité d’utilisation, fonctions multimédia et enfin autonomie de la batterie. L’appréciation globale est jugée satisfaisante pour l’ensemble.

  • p.44

    Le thon en voit de toutes les couleurs

    Après l’achat de longe et de filets de thon au rayon frais en grande et moyenne surface ainsi qu’en poissonnerie, « Que Choisir » a procédé à des vérifications et analyses telles que le respect de l’étiquetage, la conformité de l’espèce, le dosage d’histamine, l’ajout d’eau et la présence d’additifs. Ces derniers ne sont pas interdits pour les produits de la mer à condition d’être mentionnés sur l’étiquetage, ce qui n’est pas le cas pour quelques-uns des 39 échantillons sélectionnés. En revanche, les analyses ont révélé la présence de nitrates ou de nitrites dans quatre produits, en partie perceptible à l’œil en raison de la mollesse de leur chair. Ces substances interdites dans le poisson servent à masquer la couleur brune qui survient lors de la décongélation si la température de congélation n’a pas été assez basse. En effet, la majorité du thon vendu frais est décongelée, ce qui toutefois n’altère en rien la qualité dans la mesure où le produit initial est bon et la température de congélation correcte. Des teneurs élevées en acides citrique et ascorbique ont été découvertes dans ces mêmes échantillons, et de l’histamine détectée à haute dose dans trois autres, une molécule potentiellement dangereuse pour la santé. Cependant, la plupart des autres produits testés se révèlent sans défaut.

  • p.48

    Les mauvais coûts des 118

    Depuis 2005, pour joindre les renseignements téléphoniques, il ne faut plus composer le 12 mais des numéros à six chiffres commençant par 118. Dans un contexte marqué par une baisse importante du nombre d’appels, ces numéros gérés par des sociétés commerciales se livrent une concurrence féroce, hélas guère au bénéfice des consommateurs. À l’instar du 118 218, ils compensent la chute des appels en augmentant leurs prix, en facturant chèrement le temps écoulé après la mise en relation ou encore en se lançant dans de nouveaux services. Les consommateurs découvrent souvent trop tard le montant exorbitant des factures à payer. Afin d’éviter ces désagréments, « Que Choisir » précise clairement les règles de facturation de ces numéros et donne quelques conseils utiles. Les pratiques du 118 515, emblématiques des « dérapages » de ces nouveaux services, sont mises à l’index

  • p.50

    Dépendance : le prix à payer

    Pour mieux connaître la satisfaction et les attentes de ses lecteurs en matière d’aide à domicile pour les personnes âgées, « Que Choisir » présente le bilan d’un questionnaire auquel 375 personnes ont répondu. Ainsi, concernant leurs besoins, la qualité semble au rendez-vous, mais le nombre d’heures ne serait pas suffisant pour un bénéficiaire sur deux : 27 heures supplémentaires seraient souhaitées. Les employeurs de ces services sont pour majorité des associations, puis des sociétés privées commerciales qui ont émergé depuis la loi Borloo de 2005, ou il s’agit d’emploi direct ou par l’intermédiaire de centres communaux d’action sociale. Les tarifs sont détaillés avec le reste à charge pour le bénéficiaire, de 600 € par mois en moyenne. L’article décrit les offres en place et souligne leurs limites, les politiques de l’État favorisant ce maintien à domicile moins onéreux que le placement en maison de retraite, avec notamment l’APA (allocation personnalisée d’autonomie) gérée par les départements suivant la grille nationale Aggir qui classe les degrés de dépendance. Un dispositif insuffisant dans bien des cas, les familles prenant alors le relais en devenant des aidants. Un focus détaille la grille Aggir et un autre la loi d’adaptation de la société au vieillissement (ASV) promulguée en décembre 2015, dont le financement n’est pas à la hauteur de ses ambitions malgré le souhait de revaloriser l’APA à domicile, de diminuer la participation financière des usagers à leur plan d’aide et de dédier une somme aux aidants.

  • p.53

    Le coup du soleil

    Cet article relate l’histoire d’une aide-soignante condamnée par la cour d’appel de Nancy en juin 2015 à détruire sa maison construite en 2010. À l’origine de la plainte, une voisine estime subir un préjudice pour la perte d’ensoleillement sur sa véranda située au nord ! Mais, en se pourvoyant en cassation, la propriétaire et les nombreux signataires d’une pétition espèrent un jugement plus juste et moins impitoyable.

  • p.54

    Pas vu, pas repris !

    « Que Choisir » enquête dans le monde du service après-vente (SAV) des téléviseurs, lequel est parfois peu clair, fabricant et distributeur se rejetant la responsabilité d’une réparation. L’article rappelle les conditions d’une garantie légale et le rôle des pièces détachées qui peut compliquer l’opération, mettant en avant des exemples étonnants. En effet, certains SAV demandent au consommateur de leur envoyer la photo de l’écran du téléviseur en panne afin de tenter un dépannage à distance, notamment pour les problèmes de panne d’usage dus à la complexité de certains appareils…

  • p.56

    Les routes françaises en mal d'entretien

    Alors qu’en février dernier, le secrétaire d’État aux Transports annonçait enfin un « plan d’investissement exceptionnel pour l’entretien des routes et du réseau fluvial », la France montre une image fortement dégradée de ses infrastructures routières. Une situation d’incurie constatée dans de nombreux rapports et dénoncée par les associations d’usagers, qu’illustrent pleinement les réponses de nos lecteurs interrogés sur leur perception de l’état de notre réseau routier. Questionnés sur l’état des chaussées, la sécurité, la qualité et l’entretien des routes et autoroutes, etc., les 3 000 répondants donnent un satisfecit aux autoroutes mais pointent du doigt les départementales et les communales. Ils estiment par ailleurs que l’entretien s’est dégradé, impactant dangereusement la sécurité. Résultats en détails.

  • p.58

    Les créanciers touchés au portefeuille

    Selon une directive transposée en droit français, une banque en faillite peut, depuis janvier 2016, pour se renflouer, ponctionner sous conditions les comptes des particuliers ayant plus de 100 000 € de dépôts. Toutefois, il ne s’agit que d’un troisième recours, après les actionnaires et les créanciers. « Que Choisir » explique le système mis en place par Bruxelles et ses conséquences pour les épargnants français puis, au regard de la solidité des banques françaises, évalue les risques réels qui pèsent sur les déposants. Enfin, l’enquête propose quelques astuces pour minimiser au maximum cette éventuelle mainmise des banques sur nos comptes.

  • p.60

    Gérer ses avoirs en quittant une entreprise

    Cette « consopratique » explique, dans divers cas de rupture de contrat de travail, les possibilités et conditions de fermeture du plan d’épargne entreprise (PEE) ou du plan d’épargne interentreprises (PEI), de récupération de la somme bloquée, de maintien ou de transfert de cet argent. Les règles de déblocage anticipé sont rappelées avec les prélèvements sociaux de 15,5 % appliqués aux intérêts et plus-values réalisés. Le plan d’épargne pour la retraite collectif (PERCO) est, lui, normalement indisponible jusqu’à la retraite, sauf dans les cas de déblocage anticipé détaillés dans l’article. Des transferts sont possibles si la nouvelle entreprise en possède un.

  • p.61

    Prestations non fournies

    Si un consommateur rencontre de mauvaises surprises lors d’un voyage organisé acheté dans une agence de voyages (excursion annulée, hôtel différent de celui initialement prévu…), « Que Choisir » explique comment obtenir une indemnisation. Dans le cas où le voyageur n’obtient pas satisfaction, il peut saisir les tribunaux où le juge évaluera le préjudice et le montant de l’indemnisation.

  • p.61

    Un consommateur averti en vaut deux

    Cette « consopratique » rappelle les caractéristiques du démarchage à domicile pour des biens et services, avec également l’application de ce terme en cas d’invitation du client à venir retirer un lot en magasin. Certains secteurs sont exclus de ce type de vente (services financiers, forfaits touristiques, prestations de service…). L’article rappelle les obligations du démarcheur et les mentions que le bon de commande doit présenter, ainsi que les recours possibles tels que le droit à renonciation dans le délai de rétractation. Enfin, en cas d’abus, les risques encourus par le vendeur sont évoqués.

  • p.64

    Erreur de millésime

  • p.64

    EDF disjoncte

  • p.64

    Sofinco force la main

  • p.65

    Respect du droit coutumier

  • p.65

    Plus de son, plus d'images

  • p.65

    La croisière tombe à l'eau

  • p.66

    La menace paie

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Les plus du magazine

  • Une information fiable et indépendante sur votre consommation
  • Des essais comparatifs pour choisir les meilleurs produits au meilleur prix
  • Des conseils pour votre quotidien
  • Des alertes sur les dangers de certains produits

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  • p.4

    Le coût caché des pesticides

  • p.13

    Pour une saine démocratie

  • p.16

    Les modes d'élevage qui résistent

    Surproduction, chute des cours, l’agriculture conventionnelle standardisée va mal. Les éleveurs sont à la peine. Mais il existe d’autres voies pour valoriser sa production dans le respect de l’environnement. L’article met en lumière des modes d’élevage (élevages biologiques, filières labellisées, etc.) qui mettent l’accent sur la qualité et non le volume afin de permettre de dégager des revenus suffisants pour résister à la crise agricole et faire vivre les exploitants. Les consommateurs peuvent eux aussi agir en favorisant ces élevages « vertueux ». « Que Choisir » les guide pour bien décrypter les étiquettes afin de faire les bons choix en matière d’œufs, de poulet, de viandes de porc et de bœuf ainsi que de labels.

  • p.20

    Des désirs calculés

    « Que Choisir » enquête dans le monde des algorithmes dont se servent les cybermarchands pour suggérer des achats ciblés. Netflix, la plateforme de vidéo à la demande par abonnement, compulse ainsi, avec son algorithme « Cinematch », des données personnelles collectées en fonction des recherches des internautes, afin de leur proposer des recommandations prédictives d’autres vidéos susceptibles de leur plaire. Google, Facebook, Amazon ciblent également leurs publicités, mais l’article pointe du doigt la protection des données personnelles et l’uniformisation des goûts, chacun étant orienté vers les mêmes produits et services. Un encart donne des conseils pour préserver le plus possible ses informations personnelles sur le Web (cookies, mot de passe…) et un autre éclaire la notion de « big data », ces trésors d’informations qui intéressent tant les entreprises…

  • p.22

    La règle des trois

    Lors de l’achat d’un produit ou d’un service, le vendeur est tenu d’informer le consommateur qu’il bénéficie de deux garanties légales gratuites : la garantie légale de conformité et la garantie des vices cachés. Pour la première, si l’appareil présente un quelconque défaut existant au moment de son acquisition, l’acheteur est en droit d’exiger la réparation, le remplacement voire le remboursement (partiel ou total) sans apporter la preuve de la défaillance, tout au moins pendant deux ans. Pour les biens à monter soi-même et ceux d’occasion, le délai est de six mois. Pour les vices cachés, le délai est de deux ans à partir de la découverte du défaut, mais c’est à l’acheteur de prouver au vendeur ou au fabricant le défaut non visible lors de l’achat. Quant à la garantie commerciale et aux extensions proposées avec insistance par les vendeurs, elles risquent de faire double emploi avec la garantie légale et sont coûteuses. Seul intérêt éventuel, une période de garantie au-delà des deux ans.

  • p.24

    Encore trop d'abus !

    Les abus tarifaires en matière de services bancaires subsistent malgré la publication de plusieurs réglementations ces deux dernières années. L’enquête de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) menée en 2015 aboutit aux mêmes conclusions. Le plafonnement des commissions d’intervention en cas de dépassement d’un découvert autorisé, l’interdiction de certains frais de tenue d’un compte inactif, le plafonnement des frais pour incident de paiement font partie des mesures récentes qui auraient dû alléger la facture des clients. Pourtant, début 2016, on observe déjà une hausse de 4,7 % des tarifs bancaires. Les nombreux témoignages qui nous sont parvenus vont dans ce sens. « Que Choisir » invite chacun à traquer les frais prélevés sur ses relevés bancaires dont certains, s’ils ne sont pas illégaux, sont pour le moins abusifs : généralisation des frais de tenue de compte variables selon les banques, virements SEPA, retraits payants au distributeur de billets d’un autre réseau, paiement sans contact.

  • p.28

    Robots de cuisine

    « Que Choisir » a évalué 27 robots de cuisine dont 17 multifonctions et 10 pâtissiers, de marques telles que Moulinex, Philips, Kenwood, Seb, Braun ou Bosch. Les critères ont porté sur les tâches et recettes qu’ils se targuent de réaliser parfaitement (blancs en neige, crème fouettée, pâte à crêpes, pâte à gâteau, purée pour bébé, etc.), la performance à broyer et râper divers aliments, l’endurance et l’utilisation (facilité, niveau sonore, nettoyage…). Un produit s’est distingué comme « bon choix » parmi les multifonctions, un également parmi les pâtissiers. Un robot pâtissier a été mis en avant en tant que « meilleur choix ». L’article rappelle les références encore en vente des six « meilleurs choix » issus du test de mai 2015.

  • p.30

    Des nouvelles gammes

    L’interdiction, depuis le 1er septembre 2014, de la vente des aspirateurs de plus de 1 600 W et celle à venir de ceux de plus de 900 W a entraîné un renouvellement de gamme. « Que Choisir » a testé 23 modèles à moins de 150 € de marques telles que Moulinex, Bosch, Tornado, Hoover, Philips, Rowenta ou Proline, selon des critères de performance d’aspiration sur différents sols (sols durs, parquets, tapis et moquettes), suivant la largeur d’aspiration effective par rapport à la largeur de la brosse, la capacité à aspirer au-delà de l’extrémité de la brosse, la filtration (la quantité de rejet de poussière dans l’air), l’endurance, la consommation électrique, le niveau sonore, la facilité d’utilisation…Un « bon choix » est mis en avant, ainsi que deux « meilleur rapport qualité/prix », les marques de distributeur affichant des résultats décevants. Vingt-cinq aspirateurs traîneaux à plus de 150 € ont également été évalués, six produits se distinguant comme « meilleur choix » dont deux modèles presque identiques d’une marque et quatre modèles presque identiques d’une autre marque. Quatre produits sont qualifiés de « bon choix » et un encart démontre combien les qualités avancées par le nouvel aspirateur traîneau sans fil CordZero proposé par LG sont à relativiser….

  • p.34

    Pour les petits nettoyages

    Maniable, plutôt léger, « 2-en-1 » pour certains afin de désolidariser le manche et de le transformer en aspirateur à main, rechargeable, l’aspirateur balai sans fil est de plus en plus convoité. Mais il ne peut être utilisé que pour le ménage d’appoint, comme le démontre le test de dix modèles de marque Dyson, Electrolux, Rowenta, Vas, Philips, LG, De’ Longhi ou Black & Decker. Les critères d’évaluation sont les performances d’aspiration sur sols durs et sur tapis et moquettes, l’autonomie, la filtration (la quantité de rejet de poussière dans l’air), le niveau sonore et la facilité d’utilisation. Un produit s’est distingué en tant que « meilleur choix ».

  • p.35

    Tondeuses à gazon

    Avec l’arrivée du printemps, le bruit des tondeuses à gazon devrait retentir dans les jardins. « Que Choisir » a réalisé un test de 23 tondeuses à gazon, dont 13 électriques, 5 thermiques (à essence) et 5 sans fil (à batterie), pour des prix allant de 99 à 699 €. Les performances et la qualité de la tonte ont été évaluées sur des pelouses de qualités différentes, voire sur des terrains avec dénivelés. D’autres critères comme la capacité du bac, le niveau sonore, la maniabilité, la solidité et surtout la sécurité sont loin d’être négligeables dans l’appréciation globale. Certains modèles sont dotés d’une fonction « mulching », qui consiste à utiliser l’herbe broyée comme engrais naturel. Le choix du modèle thermique, plus cher à l’achat et à la consommation, ou électrique, plus économique, se fera en fonction de la taille du terrain.

  • p.38

    Matelas

    Après les matelas d’entrée de gamme, le haut de gamme à mémoire de forme et le milieu de gamme (en 2015), « Que Choisir » a testé cette année 11 matelas en mousse et à ressorts vendus entre 400 et 800 €, de marque Simmons, Épéda, Mérinos, La Compagnie du lit, Duvivier, Dunlopillo, Ikea, Bultex ou Bruno. Les critères ont été la performance à l’état neuf et après vieillissement de 8 à 10 ans, pour homme et pour femme, suivant la position de couchage. Maintien et fermeté ainsi qu’effet à mémoire de forme ont été prépondérants dans les notes et si un produit a été élu « meilleur choix », un autre a été estampillé « ne pas acheter », car il a pris feu trop facilement. L’article rappelle que 12 matelas (7 testés en 2015 et 5 à mémoire de forme testés en 2014) sont toujours en vente, deux d’entre eux étant mis en avant en tant que « meilleur choix ». « Que Choisir » propose des conseils d’achat pour choisir comment passer de bonnes nuits en sachant relativiser les arguments marketing des vendeurs concernant la fermeté, les faces hiver/été et la durée de garantie

  • p.42

    L'avenir du PC

    La tablette hybride, aussi appelée tablette « pro », « 2-en-1 » ou « détachable », s’apprête à supplanter l’ordinateur. L’écran est plus grand que celui de la tablette classique, la capacité de stockage est en revanche inférieure à celle des ordinateurs portables, voire à celle annoncée par les fabricants. Windows reste le système d’exploitation le plus utilisé, néanmoins Android et iOS sont présents sur quelques modèles. « Que Choisir » a testé 10 tablettes hybrides en majorité proposées par les constructeurs informatiques, les fabricants de téléphones portables quant à eux devraient être présents prochainement sur ce créneau. Pour les évaluer, ces appareils ont été passés au crible : connectique disponible, performances du système, écran évalué par un jury, facilité d’utilisation, fonctions multimédia et enfin autonomie de la batterie. L’appréciation globale est jugée satisfaisante pour l’ensemble.

  • p.44

    Le thon en voit de toutes les couleurs

    Après l’achat de longe et de filets de thon au rayon frais en grande et moyenne surface ainsi qu’en poissonnerie, « Que Choisir » a procédé à des vérifications et analyses telles que le respect de l’étiquetage, la conformité de l’espèce, le dosage d’histamine, l’ajout d’eau et la présence d’additifs. Ces derniers ne sont pas interdits pour les produits de la mer à condition d’être mentionnés sur l’étiquetage, ce qui n’est pas le cas pour quelques-uns des 39 échantillons sélectionnés. En revanche, les analyses ont révélé la présence de nitrates ou de nitrites dans quatre produits, en partie perceptible à l’œil en raison de la mollesse de leur chair. Ces substances interdites dans le poisson servent à masquer la couleur brune qui survient lors de la décongélation si la température de congélation n’a pas été assez basse. En effet, la majorité du thon vendu frais est décongelée, ce qui toutefois n’altère en rien la qualité dans la mesure où le produit initial est bon et la température de congélation correcte. Des teneurs élevées en acides citrique et ascorbique ont été découvertes dans ces mêmes échantillons, et de l’histamine détectée à haute dose dans trois autres, une molécule potentiellement dangereuse pour la santé. Cependant, la plupart des autres produits testés se révèlent sans défaut.

  • p.48

    Les mauvais coûts des 118

    Depuis 2005, pour joindre les renseignements téléphoniques, il ne faut plus composer le 12 mais des numéros à six chiffres commençant par 118. Dans un contexte marqué par une baisse importante du nombre d’appels, ces numéros gérés par des sociétés commerciales se livrent une concurrence féroce, hélas guère au bénéfice des consommateurs. À l’instar du 118 218, ils compensent la chute des appels en augmentant leurs prix, en facturant chèrement le temps écoulé après la mise en relation ou encore en se lançant dans de nouveaux services. Les consommateurs découvrent souvent trop tard le montant exorbitant des factures à payer. Afin d’éviter ces désagréments, « Que Choisir » précise clairement les règles de facturation de ces numéros et donne quelques conseils utiles. Les pratiques du 118 515, emblématiques des « dérapages » de ces nouveaux services, sont mises à l’index

  • p.50

    Dépendance : le prix à payer

    Pour mieux connaître la satisfaction et les attentes de ses lecteurs en matière d’aide à domicile pour les personnes âgées, « Que Choisir » présente le bilan d’un questionnaire auquel 375 personnes ont répondu. Ainsi, concernant leurs besoins, la qualité semble au rendez-vous, mais le nombre d’heures ne serait pas suffisant pour un bénéficiaire sur deux : 27 heures supplémentaires seraient souhaitées. Les employeurs de ces services sont pour majorité des associations, puis des sociétés privées commerciales qui ont émergé depuis la loi Borloo de 2005, ou il s’agit d’emploi direct ou par l’intermédiaire de centres communaux d’action sociale. Les tarifs sont détaillés avec le reste à charge pour le bénéficiaire, de 600 € par mois en moyenne. L’article décrit les offres en place et souligne leurs limites, les politiques de l’État favorisant ce maintien à domicile moins onéreux que le placement en maison de retraite, avec notamment l’APA (allocation personnalisée d’autonomie) gérée par les départements suivant la grille nationale Aggir qui classe les degrés de dépendance. Un dispositif insuffisant dans bien des cas, les familles prenant alors le relais en devenant des aidants. Un focus détaille la grille Aggir et un autre la loi d’adaptation de la société au vieillissement (ASV) promulguée en décembre 2015, dont le financement n’est pas à la hauteur de ses ambitions malgré le souhait de revaloriser l’APA à domicile, de diminuer la participation financière des usagers à leur plan d’aide et de dédier une somme aux aidants.

  • p.53

    Le coup du soleil

    Cet article relate l’histoire d’une aide-soignante condamnée par la cour d’appel de Nancy en juin 2015 à détruire sa maison construite en 2010. À l’origine de la plainte, une voisine estime subir un préjudice pour la perte d’ensoleillement sur sa véranda située au nord ! Mais, en se pourvoyant en cassation, la propriétaire et les nombreux signataires d’une pétition espèrent un jugement plus juste et moins impitoyable.

  • p.54

    Pas vu, pas repris !

    « Que Choisir » enquête dans le monde du service après-vente (SAV) des téléviseurs, lequel est parfois peu clair, fabricant et distributeur se rejetant la responsabilité d’une réparation. L’article rappelle les conditions d’une garantie légale et le rôle des pièces détachées qui peut compliquer l’opération, mettant en avant des exemples étonnants. En effet, certains SAV demandent au consommateur de leur envoyer la photo de l’écran du téléviseur en panne afin de tenter un dépannage à distance, notamment pour les problèmes de panne d’usage dus à la complexité de certains appareils…

  • p.56

    Les routes françaises en mal d'entretien

    Alors qu’en février dernier, le secrétaire d’État aux Transports annonçait enfin un « plan d’investissement exceptionnel pour l’entretien des routes et du réseau fluvial », la France montre une image fortement dégradée de ses infrastructures routières. Une situation d’incurie constatée dans de nombreux rapports et dénoncée par les associations d’usagers, qu’illustrent pleinement les réponses de nos lecteurs interrogés sur leur perception de l’état de notre réseau routier. Questionnés sur l’état des chaussées, la sécurité, la qualité et l’entretien des routes et autoroutes, etc., les 3 000 répondants donnent un satisfecit aux autoroutes mais pointent du doigt les départementales et les communales. Ils estiment par ailleurs que l’entretien s’est dégradé, impactant dangereusement la sécurité. Résultats en détails.

  • p.58

    Les créanciers touchés au portefeuille

    Selon une directive transposée en droit français, une banque en faillite peut, depuis janvier 2016, pour se renflouer, ponctionner sous conditions les comptes des particuliers ayant plus de 100 000 € de dépôts. Toutefois, il ne s’agit que d’un troisième recours, après les actionnaires et les créanciers. « Que Choisir » explique le système mis en place par Bruxelles et ses conséquences pour les épargnants français puis, au regard de la solidité des banques françaises, évalue les risques réels qui pèsent sur les déposants. Enfin, l’enquête propose quelques astuces pour minimiser au maximum cette éventuelle mainmise des banques sur nos comptes.

  • p.60

    Gérer ses avoirs en quittant une entreprise

    Cette « consopratique » explique, dans divers cas de rupture de contrat de travail, les possibilités et conditions de fermeture du plan d’épargne entreprise (PEE) ou du plan d’épargne interentreprises (PEI), de récupération de la somme bloquée, de maintien ou de transfert de cet argent. Les règles de déblocage anticipé sont rappelées avec les prélèvements sociaux de 15,5 % appliqués aux intérêts et plus-values réalisés. Le plan d’épargne pour la retraite collectif (PERCO) est, lui, normalement indisponible jusqu’à la retraite, sauf dans les cas de déblocage anticipé détaillés dans l’article. Des transferts sont possibles si la nouvelle entreprise en possède un.

  • p.61

    Prestations non fournies

    Si un consommateur rencontre de mauvaises surprises lors d’un voyage organisé acheté dans une agence de voyages (excursion annulée, hôtel différent de celui initialement prévu…), « Que Choisir » explique comment obtenir une indemnisation. Dans le cas où le voyageur n’obtient pas satisfaction, il peut saisir les tribunaux où le juge évaluera le préjudice et le montant de l’indemnisation.

  • p.61

    Un consommateur averti en vaut deux

    Cette « consopratique » rappelle les caractéristiques du démarchage à domicile pour des biens et services, avec également l’application de ce terme en cas d’invitation du client à venir retirer un lot en magasin. Certains secteurs sont exclus de ce type de vente (services financiers, forfaits touristiques, prestations de service…). L’article rappelle les obligations du démarcheur et les mentions que le bon de commande doit présenter, ainsi que les recours possibles tels que le droit à renonciation dans le délai de rétractation. Enfin, en cas d’abus, les risques encourus par le vendeur sont évoqués.

  • p.64

    Erreur de millésime

  • p.64

    EDF disjoncte

  • p.64

    Sofinco force la main

  • p.65

    Respect du droit coutumier

  • p.65

    Plus de son, plus d'images

  • p.65

    La croisière tombe à l'eau

  • p.66

    La menace paie

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